Frais comme une Ville Rose
Plus de 820 joueurs ont pris place à l'Agoria de Toulouse, pour jouer la dernière étape provinciale qualificative pour la Grande Finale du WiPT 2023/2024 !
Samedi matin, 10 heures. Le temps est gris sur la Ville Rose. Nous, on vous dit ça en direct de la Diagora, où nous serons présents tout le week-end : car c'est bien dans le centre de congrès situé à Labège, en périphérie de Toulouse, que se joue durant deux jours l'ultime étape provinciale du Winamax Poker Tour 2023/2024. Un rendez-vous symbolique donc, avant une pause d'un mois et le retour à Paris prévu le second week-end de mars, pour l'étape Last Chance qui précédera la Grande Finale du circuit.Mais si le solel peine à se faire une place en Haute-Garonne, les mines, elles, sont tout sauf maussades à l'Agoria, la salle qui accueille le tournoi. Ce n'est pas une surprise, mais la bonne humeur règne et tout le monde est content d'être là : à peine débarqué au petit-déj' à l'hôtel, Pierre Calamusa se prêtait déjà au jeu des selfies... avant de remettre ça en compagnie de Gaëlle Baumann avant le début du tournoi, pour un vrai atelier photo devant l'un des panneaux Winamax (note pour l'année prochaine : instaurer un système de tickets pour la file d'attente).Une chose est sûre, la popularité des pros W ne se dément, tout comme celle du WiPT : ils s'ont d'ores et déjà 820 à avoir pris place aux tables, en attendant d'éventuels retardataires. Et tous ont bien respecté le process : certains étaient présent dès neuf heures du mat' pour aller valider leur entrée au desk Winamax, où sévit notre fine équipe dépêchée dans la Ville Rose.10h30 : Guillaume Gleize, l'inamovible Tournament Director des étapes WiPT, prend le micro pour donner les premières consignes, de la répartition des jetons à l'emplacement du bouton, en incitant les joueurs à profiter des petits cadeaux présents à leur place. Tous joueront avec la structure habituelle du WiPT : 40 000 jetons sur des niveaux de 20 minutes, avec un coup d'envoi (donné à 11 heures donc) aux blindes 100 / 200 / BB Ante 200, ce qui fait 200 BB à faire fructifier, le tout joué en self-dealing (les croupiers, ce sera pour les toutes dernières tables du tournoi).Au bout du rêve : l'un des 13 Pass à 500 € mis en jeu pour la Grande Finale parisienne de mars, un rêve qui deviendra réalité pour les plus veinards vers dimanche 17 heures environ. Trois autres tickets à 500 seront aussi à gagner sur les deux Sides Events qui débuteront dans l'après-midi ce samedi : le Shootout, prévu à 15 heures, et le 6-Max, programmé pour 16h30 (les inscriptions débutent une heure avant au desk Winamax). Ceux qui échoueront pas loin des tickets auront tout de même des lots de consolation : ils repartiront avec des assortiments de tickets Winamax, de 10 € à 150 €, avec 99 lots distribués sur le tournoi principal.
Pour avoir toutes ces infos en permanence sous les yeux, n'oubliez pas de télécharger l'appli Winamax Live, ou suivez ce reportage : vous y retrouverez également toutes les photos de Carl Ypreeuw, notre chasseur d'image pour ce week-end. Sur place, le staff Winamax, habillé d'un maillot blanc floqué 31 (on est à Toulouse, hein), est également à votre disposition pour vous orienter.
LeVietF0u avait réussi à "finir" le tournoi à Grenoble et connait donc la route à suivre, ce qu'il explique à O RLY : "Pour pouvoir faire la MasterClass, on doit terminer le Day 1 à 400 000 jetons !" Car oui, comme sur chaque étape, les deux pros Winamax animeront une séance technique toujours très attendue dimanche à 11 heures, au sein de la salle de tournoi. Le thème : les batailles small blind vs big blind. Voilà qui devrait en intéresser plus d'un... Venez, c'est gratuit !Comme d'hab, on a mis en place une belle boutique avec tous nos best-sellers de l'année, et nos nouvelles collections, où on vous attend avec le sourire.
Une flopée de WiP sera présente sur ce WiPT, dont le boss, Moundir. On tâchera de vous les présenter tout au long du week-end !
10 000 joueurs ont tenté leur qualif sur les Tremplins pour cette étape toulousaine, comme l'annonce Jean au micro. Des chiffres comme on les aime
"Toulouse, c'est particulier pour moi, explique Pierre Calamusa, au moment de prendre le micro. "J'y ai habité, j'ai fait la Toulouse Business School, mais je me suis fait virer au bout d'un an." Alors mieux vaut écouter ses conseils niveau poker, un secteur où il a un peu mieux réussi : "Soyez agressifs. Il y a beaucoup d'appelés pour peu d'élus."
En habituée, Gaëlle nous a gratifié d'un "Shuffle up and deal" de professionnelle.