Winamax Poker Tour : une nouvelle formule plébiscitée
Du lancement marseillais à l'étape nancéenne en passant par le record nantais, le WiPT new look cartonne et fait parler de lui dans toute la France. Et c'est loin d'être fini !
La nouvelle formule du Winamax Poker Tour pour cette édition 2023/2024 séduit, et pas uniquement les joueurs. Après une grande première inédite au Parc Chanot de Marseille, la caravane du plus grand circuit gratuit au monde a entamé son périple aux quatre coins de l'Hexagone. En attendant de visiter Grenoble ce week-end, nos équipes se sont déjà rendues à Lille, Nantes, Bordeaux et Nancy. Dans leur sillage, une foule de joueurs telle que le record de fréquentation pour une étape régionale est tombé non pas une, mais deux fois. Des vagues successives en forme d'avant-goût du raz de marée qui risque de s'abattre sur la Grande Finale parisienne, dont le lieu a officiellement été dévoilé dans le courant du mois de novembre. Preuve supplémentaire que cette édition est décidément celle des premières, c'est au Paris Expo Porte de Versailles que nous vous donnons rendez-vous du mardi 12 au dimanche 17 mars 2024, avec en point d'orgue, un Main Event doté d'au moins un million d'euros. Forcément, des chiffres et des affluences pareils, ça attire les yeux de la presse locale, qui n'a pas manqué de s'en faire les choux gras. Petit tour d'horizon en mode PQR.
C'est le Tour bébé !
Commençons par le commencement, avec l'inauguration réussie du Tour au Parc Chanot de Marseille, qui a eu le droit à une pleine page dans La Provence – et sur leur site (réservé aux abonnés). "On a voulu décentraliser et changer un peu de Paris, sur le même principe que le Tour de France de vélo, y explique Matthieu Duran, grand manitou de l'événement et de notre pôle live. Marseille était une évidence, Winamax partage l’état d’esprit de cette ville : vivante, amoureuse du sport et qui aime taquiner. On aime chambrer chez Winamax ! Il y a aussi à Marseille une grosse communauté de joueurs de poker, tous les ingrédients étaient réunis pour y lancer cette édition." Et le quotidien de donner la parole aux rugbymen locaux Eddy Labarthe et Arthur Cestaro. "C'est plus difficile de bluffer [en live]," raconte le premier. "Il y a des 'fishes', il y a des 'sharks', certains qui comprennent la dynamique, d'autres qui sont un peu perdus," ajoute le second, taquin, ouvrant une colonne détaillant un lexique pas si évident à maîtriser pour le néophyte. Juste en dessous, le journaliste Antoine Marigot, invité sur le tournoi, raconte son expérience en mode gonzo, achevée après un joli run qui l'a emmené jusque dans les places payées. GG Antoine !
Il ne fait donc cependant pas partie de la poignée de qualifiés promus du jour au lendemain au rang de petites vedettes locales, à l'image de Jean-Claude Lefrançois, interrogé par Nice-Matin. Un peintre en bâtiment de 60 ans, "passionné, mais raisonnable," qui joue "avec [ses] copains le vendredi soir et quelques fois en ligne." Un amour des cartes qui se vit en famille, puisqu'il s'était présenté au Parc Chanot en compagnie de son fils. "Je crois bien que nous avons ça dans les gênes." Quant à la Grande Finale, il l'aborde en toute décontraction. "Je vais y aller sans trop me prendre la tête et en étant le plus reposé possible. Certes, il y a cette fois-ci une très grosse somme à se partager – un million d’euros – pour les meilleurs, mais je n’y vais pas pour ça. Je le vis plutôt comme une nouvelle expérience de joueur," conclut-il. Même objectif chez Sylvain (très beau prénom), membre du club de Dunkerque, qualifié à Lille. "Je veux prendre du plaisir. Je ne suis pas stressé, je suis content d'aller jouer avec des personnes que je ne connais pas. J'aime le jeu, pas forcément les jeux d'argent, ajoute-t-il dans Nord Littoral (abonnés). Il y a part une prise de décision, une part de réflexion. Puis, il y a de l'ambiance aux tables. C'est un jeu intéressant, ça offre des possibilités presque infinies." La Thiérache, de son côté, est allé à la rencontre de José, "président de la société de pêche du Nouvion-en-Thiérache, [qui n'est] visiblement pas un fish !"
Paroles de Dames
Chacun voit ainsi midi à sa porte. Quand Midi Libre s'intéresse aux trois Montpelliérains qualifiés à Marseille (abonnés), dont Yankel, animateur dans un club de foot local, qui a vu la bulle de ses propres yeux en table télévisée, L'Union s'intéresse à Amaury Lech (abonnés), jeune joueur de 19 ans passé par le centre de formation du Stade de Reims. La Presse de Vesoul, enfin, fait la part belle à Gwenaëlle, issue du club de la ville et seule femme qualifiée sur l'étape de Nancy. Les femmes, d'ailleurs, ce sont elles que met en avant Ouest-France (abonnés), à travers les interviews croisées à Nantes de Clara, étudiante de 23 ans venue de Poitiers et Alexane Najchaus, 27 ans, joueuse professionnelle du Team Winamax de son état. "Je joue en ligne pour m'amuser, mais jamais avec de l'argent, le poker reste pour moi un loisir. Nantes, c'est mon premier grand tournoi," avance la première, tandis que LaSirenita met en avant son hygiène de vie, son "travail de fond pour être performante mentalement" et la stimulation intellectuelle et émotionnelle que lui offre le jeu.
À Nancy aussi, les localiers ont déambulé entre les tables, à l'image de France 3 Grand Est qui a notamment rencontré Régis, façadier des Vosges. "Je me suis inscrit pour me faire plaisir. Ce qui me plaît, c'est l'adrénaline, les mathématiques." "Je suis venue surtout pour m'amuser, abonde Kathlyn, qui a remonté tout le pays depuis Nice ! Jouer ici en live, c'est beaucoup mieux qu'en ligne, c'est plus convivial, ajoute-t-elle avant de conclure d'un conseil. Il ne faut pas être mauvais perdant !" Pendant ce temps, c'est une question qui taraude la rédaction de l'Est Républicain (abonnés) : "Mais qu’est-ce qui plaît donc tant, dans ce jeu ayant le vent en poupe ?" "Surtout la stratégie que cela demande, répond Laurent. Ici, on peut échanger, discuter à table." "Le poker, c'est un tout, un mélange de chance, de bluff et de réflexion," poursuit Arsène, membre du Metz Poker Club, association qui s'est présentée en force chez les voisins nancéens. Et l'appât du gain dans tout ça ? "Oui, ça peut être une petite motivation, rebondit Laurent. En jouant en ligne, avec 5 €, on peut remporter jusqu'à 1 000 € si on s'y prend bien." Et le quotidien de conclure son investigation de manière attendue : "C'est avant tout pour l'amour du jeu que tous sont venus au Centre Prouvé." Nous n'aurions pas dit mieux.
Le Tour tourne toujours
Un amour qui va encore se faire ressentir ces 9 et 10 décembre à l'Alpexpo de Grenoble, terre de poker s'il en est, qui a vu émerger des champions de la trempe de Pierre Calamusa, Guillaume Diaz et Flavien Guénan. LeVietF0u sera d'ailleurs présent sur place pour taper le carton un temps, mais surtout pour enchaîner les selfies et dispenser la toujours précieuse Masterclass dominicale du Team Winamax.
Après cela, il sera l'heure pour le Tour d'observer une pause bien méritée pour les fêtes de fin d'année, avant de revenir plus fort à Poitiers à partir du 13 janvier. Les premiers mètres d'une dernière ligne droite qui se poursuivra les week-ends suivants à Caen, Clermont, Toulouse et enfin Paris. Les qualifications online ne prennent, elles, pas de pause, avec des Tremplins organisés tous les mercredis, jeudis et dimanches. Surveillez le calendrier afin de décrocher votre place pour l'étape de votre choix !
Bonne chance et à très vite sur le Tour !
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