Caen te reverrai-je, freeroll merveilleux ?
Tic-toc, tic-toc, tic-toc... L'horloge tourne sur le plus grand championnat amateur de France ! Après Poitiers et avant Clermont-Ferrand, c'est au tour de Caen de recevoir la caravane du Winamax Poker Tour pour l'une des dernières maxi-étapes freeroll au programme de la saison 2023/2024.Le compte est bon : vous êtes (à très peu de choses près) 800 joueuses et joueurs réunis au Parc des Expositions de la capitale du Calvados. Merci pour votre accueil chaleureux, propice à nous faire oublier les températures négatives de ce mois de janvier. Votre objectif ce week-end est le même que sur toutes les étapes qui ont précédé : survivre à la première journée du samedi, entrer dimanche dans les 99 places payées, et enfin décrocher l’un des 16 tickets à 500 € (treize sur le tournoi principal, trois sur les tournois annexes) mis en jeu pour la Grande Finale du WiPT, programmée à Paris du 12 au 17 mars.
Avant d'entrer dans le vif du sujet, voici le top 5 des choses que j'ai apprises à propos de Caen depuis notre arrivée hier : Tout comme Poitiers, Caen est surnommée « La ville aux cent clochers », mais nous nous abstiendrons de le faire ce week-end, pour éviter d’auto-plagier Il n’est pas facile de garer sa voiture à Caen, mais c’est pour une bonne raison : majoritairement constitué de voies piétonnes, son centre-ville est un régal pour le promeneur.
La réputation des merguez de la boucherie Marcel dépassent largement les frontières de Caen. On les retrouve notamment au menu de La Maison d’Italie, pizzeria ayant accueilli sans broncher et avec le sourire les 17 membres du staff Winamax venus en Normandie pour encadrer l’organisation de l’étape.
Il est tout à fait possible de se promener dans Caen un 20 janvier vêtu d’un pantacourt.
Il est tout à impossible de quitter le buffet petit-déjeuner de l’Hotel Zenith (98 boulevard Yves Guillou) en se mettant dans la poche un minuscule morceau de pain tartiné de confiture sans se faire gronder par la pas commode gérante de l’établissement. « Si tout le monde fait ça, ce n’est plus un buffet sur place mais un buffet à emporter », qu’elle nous a dit, et on n’a pas essayé d’argumenter avec cette logique implacable.