ron l'infect

petite reaction au billet de soxav (l’excellent billet de soxav) :



https://www.wam-poker.com/forums/mywam-il-etait-une-fois-…-94657?t=94657&postdays=0&postorder=asc&start=0


soxav:
mais il faut bien quelqu'un pour supporter rolinfect dans le chat de la radio)



c'est pas roh l'infect
ni ron l'infeste
ou ron l'insecte
ni meme ron l'inseste


ron comme le prénom anglais (y en a qui pense de suite au copain d'Hermione et Harry)
et l'infect comme ben son odeur

oui, parce que ron l'infect existe ailleurs que dans le poker :

ci dessous extrait du vade mecum du disque monde de Terry Pratchett qui vous en apprendra plus le personnage :




mdr

tu trouves que je ressemble trop a mon perso lol ?

J’ai supprimé le flood et ai prévenu SLOOGGY69, no offense pour ton thread ronlinfect :wink:

np

désolé pour lui, j’arrete pas de le taner pour que l’on se mesure chez les veterans :astonished:ops:

Moi je suis pour que t’arrête la coke parce que là elle te monte au cerveau dangereusement !

:smiling_imp:
c vrai c est rien que de sa faute lol
pour se faire pardonner
ron tu me soutiens ce soir au top shark

oubli pas tremplin ce soir

un petit extrait de La Vérité

L’auteur britannique Terry Pratchett est mort à l’âge de 66 ans, a annoncé son éditeur. Il a écrit près de soixante-dix livres, dont la série à succès des Annales du Disque-Monde.

Atteint d’une forme rare de la maladie d’Alzheimer, Terry Pratchett avait milité ces dernières années au sein de plusieurs associations pour le droit à mourir. Il est « mort à son domicile, son chat endormi sur son lit et entouré par sa famille », écrit son éditeur dans un communiqué.

Terry Pratchett avait donné ces dernières années plusieurs conférences sur le droit à l’euthanasie et avait participé à une série d’émissions de la BBC sur la question, accompagnant notamment plusieurs personnes en Suisse qui souhaitaient mourir. Il avait découvert en 2007 qu’il était atteint d’atrophie corticale postérieure, une maladie neurodégénérative pour laquelle il n’existe aucun traitement curatif. Il avait alors décidé de faire ce qu’il appelait un « coming out » - révéler publiquement sa maladie - afin de sensibiliser le grand public. Le premier ministre britannique David Cameron a salué ce 12 mars la mémoire d’un homme « dont les livres ont enflammé l’imagination de millions de lecteurs et qui avait mené sans relâche campagne pour la reconnaissances de maladies dégénératives ».

Le compte Twitter de Terry Pratchett a annoncé sa mort en empruntant la voix — tout en capitale — de la Mort, un personnage récurrent de ses romans :

Après avoir commencé sa carrière comme journaliste pour un quotidien local, Terry Pratchett avait travaillé plusieurs années comme responsable de la communication pour une centrale nucléaire. Passionné par les mots, les dictionnaires, les encyclopédies et l’écriture, cet admirateur de Tolkien — qu’il avait découvert très jeune presque par hasard — aurait pu être linguiste. Mais le lecteur compulsif, qui, adolescent, dévalisait les bouquinistes, est finalement devenu écrivain.

Son premier roman, La Huitième Couleur (1983), connaît un succès correct. Terry Pratchett fait alors ses calculs, quitte son travail de communicant et devient écrivain à plein temps. Suivra au moins un roman chaque année, la plupart situés dans un même univers : le Disque-Monde. Ces romans de fantasy humoristiques connaissent gigantesque succès : au Royaume-Uni, il vendait environ 2,5 millions de livres chaque année - seule l’auteure de Harry Potter J. K. Rowling le dépassait dans les classements des meilleures ventes.
Des romans traduits en plus de 35 langues

Les Annales du Disque-Monde sont une série de romans qui mêlent humour et fantastique sur une planète portée dans l’espace par une tortue géante. Ces quarante romans, traduits dans plus de trente-cinq langues, se sont vendus à plus de quatre-vingts millions d’exemplaires.

Cet univers délirant empreint de magie et de fantastique est en bonne partie centré sur la ville d’Ankh-Morpok, gigantesque capitale où il existe une guilde des voleurs — au motif que « puisqu’il y aura toujours du crime, autant qu’il soit organisé » —, une cité dirigée d’une main de fer par le Patricien, garant du principe démocratique « un homme, une voix : le patricien était l’homme, il avait la voix ».

Hormis la Mort, les romans de Terry Pratchett font appel à des personnages récurrents : le mage Rincevent, l’orang-outan bibliothécaire de l’université de l’Invisible, où l’on apprend la magie, le commissaire Samuel Vimaire, la sorcière Mémé Ciredutemps… L’humour décalé de ces romans, qui fonctionnent comme des paraboles de notre monde, lui a valu d’excellentes critiques. Terry Pratchett avait été anobli par la reine d’Angleterre en 2008 en reconnaissance de l’ensemble de son œuvre.

Lire aussi : Terry Pratchett, une icône de la « fantasy »

Il est également l’auteur de plusieurs romans situés hors de cet univers, dont Nation, un hommage à Sa majesté des mouches, qu’il considérait comme son œuvre la plus aboutie. Il avait également collaboré avec son ami proche Neil Gaiman pour écrire Des bons présages, un roman racontant les aventures d’un ange et d’un démon vivant très heureux sur Terre et s’alliant pour faire échouer l’apocalypse.

Son dernier livre, A Slip of the Keyboard (non encore traduit en français) rassemble un grand nombre de discours, articles et textes sur des thèmes allant de la protection des orangs-outans à la presse, en passant par sa propre maladie.

A l’occasion de la mort de Terry Pratchett, jeudi 12 mars, nous republions cet article de 2004.

Phénomène de l’édition en Angleterre, où son œuvre est l’objet d’un culte qu’il sait entretenir, Terry Pratchett est sans nul doute le plus remarquable auteur de ce qu’on appelle parfois la light fantasy, mais qu’on préférera désigner ici du terme de fantasy humoristique. Parce que son domaine d’excellence, c’est le comique et l’humour, sous toutes les formes, du non-sens à l’humour noir et l’autodérision. Nul écrivain, à part lui, n’oserait écrire : « Elles s’imaginaient voir la vie à travers les livres, ce qui est impossible, pour la bonne raison que les mots bouchent la vue ».

On lui doit l’hilarant Grand livre des gnomes à destination de la jeunesse, le délirant De bons présages, écrit en collaboration avec Neil Gaiman, que Terry Gilliam envisagea de porter à l’écran. On lui doit surtout l’inénarrable cycle des Annales du disque-monde dont le vingt-troisième opus, Carpe jugulum, vient de paraître à l’Atalante et le quinzième, Le Guet des orfèvres, chez Pocket. Il faut ajouter à cette suite divers appendices comme Disque-Monde : le vademecum ou l’album Le Dernier Héros, illustré par Paul Kidby, qui conte les exploits d’un certain Cohen le barbare ; la référence culturelle est l’un des péchés mignons de Terry Pratchett. Carpe jugulum en témoigne, qui, sur le thème vampirique, fait feu de tout bois.
Personnages savoureux

Mais qu’est-ce que le disque-monde ? : un système cosmogonique très particulier, composé d’un disque posé sur le dos de quatre éléphants, portés eux-mêmes par une tortue géante. Sur ce disque, on trouve des montagnes, des plaines, des vallées, des villes comme la mégapole Ankh-Morpork, des royaumes comme celui de Lancre, se succédant les uns les autres jusqu’au bord du monde, jusqu’à la grande cataracte. Et sur ce disque-monde vit une kyrielle de personnages savoureux, dont certains apparaissent de façon récurrente : Rincevent, le magicien cataclysmique, les sorcières – Esmeralda Ciredutemps, Nounou Ogg et Magrat Goussedail –, dont Pratchett note finement qu’elles vivent toujours « à la lisière des choses », la Mort et son fringant coursier qui fait de régulières et marquantes apparitions.

Terry Pratchett était la vedette des dernières Utopiales de Nantes où nous l’avons rencontré et soumis à la question. Il est né à Beaconsfield, une petite ville située à une trentaine de kilomètres de Londres dans le Buckinghamshire, où il a passé une enfance idyllique.

Il n’a pas du tout apprécié sa scolarité. « Il y a quelques années, l’association américaine des bibliothèques m’a demandé une devise afin de décorer des tee-shirts. Mon slogan a été ‹ Tout ce que j’ai appris, je l’ai appris à la bibliothèque municipale. L’école ne m’a appris qu’à cracher ›. » Jusqu’à l’âge de 10 ans, il n’avait jamais lu de livres pour le plaisir. Un ami de sa famille lui a offert un jour Le Vent dans les saules, de Kenneth Grahame. « Je ne savais pas qu’il existait des livres comme ça. Je l’ai lu avec avidité. Cette lecture a déclenché instantanément quelque chose en moi. J’ai voulu lire le plus de livres possible. C’est comme ça que j’ai été amené à aider le bibliothécaire le samedi ; ce qui me permettait d’emprunter plus de quatre ouvrages par semaine. J’ai cherché d’autres livres comme Le Vent dans les saules. »

« J’ai lu tous les livres de fantasy et de science-fiction de la bibliothèque – ils n’étaient pas nombreux ; puis les livres sur la paléontologie ou l’astronomie, parce que ça ressemblait à de la science-fiction. C’est comme ça que j’ai fait mon éducation. Je cherchais tout le temps à retrouver le sentiment que j’avais eu en lisant de la science-fiction et de la fantasy : le sentiment que l’univers est un endroit très intéressant. Je me souviens quand Le Seigneur des anneaux de Tolkien est arrivé à la bibliothèque. Je l’ai lu le premier. Je faisais alors du baby-sitting pour des amis de mes parents. Le bébé dormait à l’étage. J’étais sur le sofa à lire Tolkien et, dans mon souvenir, la forêt commençait juste là au bord du tapis. »

« Ma grand-mère avait une étagère avec quelques livres peu nombreux mais essentiels : Le Comte de Monte-Cristo, les Sherlock Holmes de Conan Doyle, 20 000 lieues sous les mers et des ouvrages d’un auteur qui compte beaucoup pour moi, G.K. Chesterton. On était à Beaconsfield, la ville où Chesterton avait vécu et ma grand-mère l’avait connu. Il y a des échos de Chesterton dans mon œuvre. Il a écrit que le rôle de la fantasy était de prendre ce qui était tellement familier et connu qu’on ne le regardait même plus. Il suffit de le retourner, de le montrer sous un autre angle pour que l’on porte un regard neuf dessus. Ça me semble être un des rôles principaux de la fantasy. » Nous nous garderons bien de commenter de crainte d’entendre Mémé Ciredutemps nous houspiller dans Carpe jugulum : « Commencez pas à tartiner de l’allégorie partout ».

Terry Pratchett, l’écrivain du « Disque-Monde » est mort

Il vendait des millions d’exemplaires parce qu’il pratiquait le fantastique avec humour. Il avait même l’art de rendre la Mort sympa dans ses romans. On espère qu’il ne s’est pas trompé.

Le Disque-Monde ne tournera plus. L’auteur britannique Terry Pratchett est mort ce jeudi 12 mars à l’âge de 66 ans.

De son vrai nom Terence David John Pratchett, il avait écrit près de 70 livres. Et laisse à l’univers du fantastique une série acide: les 40 tomes des «Annales du Disque-Monde».

« Il est mort à son domicile, avec son chat endormi sur son lit entouré de sa famille », a détaillé sa maison d’édition, Publishers Transworld.

Mais son compte Twitter a annoncé son décès en empruntant la voix de la Mort, un des personnages récurrents de ses romans qui ne parle qu’en capitales:

On tombe dans «les Annales du Disque-Monde» comme on découvre la satire (et peut être la drogue) à l’adolescence. On doit d’abord lire les grands classiques, comme «le Seigneur des anneaux» de J.R.R. Tolkien, avec son univers manichéen et ses elfes aux oreilles pointues. Puis traîner dans les librairies pour trouver d’autres œuvres à croquer. Et là, enfin, par chance, poser la main sur un des romans de Terry Pratchett.

A 15 ans, il est facile d’imaginer le prolifique auteur britannique prendre du LSD pour créer un monde délirant, porté dans l’espace par une tortue géante. Dans l’univers de Pratchett, la Mort est sympa et s’amuse à embrasser le Père Noël afin de rendre son boulot moins ingrat.

Quelques années plus tard, et une multitude de déceptions offerte par des romans fantastiques sans souffle, on comprendra que Terry Pratchett manie la satire, l’humour et le délire avec délice.

Les quarante romans que comporte la série, traduits dans plus de 35 langues, se sont vendus à plus de 80 millions d’exemplaires (en France, c’est publié chez Pocket). Atteint par une forme rare de la maladie d’Alzheimer, Terry Pratchett avait milité ces dernières années au sein de plusieurs associations pour le droit à mourir. Preuve de son influence, le britannique avait été anobli par la reine Elisabeth II en 2008 pour l’ensemble de son œuvre.

https://www.terrypratchett.fr/

ronlinfect:
ci dessous extrait du vade mecum du disque monde de Terry Pratchett qui vous en apprendra plus le personnage :






Je croyais me souvenir (mais c'est vieux, j'ai dû lire ça il y a au moins 15 ans) que Ron L'infect n'était pas membre de la guilde des mendiants parce que personne ne pouvait le côtoyer très longtemps. Ou je confonds peut-être.

petite reaction au billet de soxav (l’excellent billet de soxav) :



https://www.wam-poker.com/forums/mywam-il-etait-une-fois-…-94657?t=94657&postdays=0&postorder=asc&start=0


soxav:
mais il faut bien quelqu'un pour supporter rolinfect dans le chat de la radio)



c'est pas roh l'infect
ni ron l'infeste
ou ron l'insecte
ni meme ron l'inseste


ron comme le prénom anglais (y en a qui pense de suite au copain d'Hermione et Harry)
et l'infect comme ben son odeur

oui, parce que ron l'infect existe ailleurs que dans le poker :

ci dessous extrait du vade mecum du disque monde de Terry Pratchett qui vous en apprendra plus le personnage :




https://www.telegraph.co.uk/culture/art/art-news/11513128/Graffiti-tributes-to-Terry-Pratchett-emerge-in-London-and-Bristol.html