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MYWAM - Il était une fois ...

Il était une fois …

Une histoire de grand écart. L’histoire d’un joueur qui commence le poker en étant membre d’un club de poker à Besançon et qui participe à son premier live trois ans plus tard à … Auckland. L’histoire d’un joueur qui découvre ce jeu comme tout le monde en 2006 via les émissions de Canal+, mais qui ne passe pas assez de temps pour devenir vraiment bon à l’époque, et qui enregistre une 30e place pour son premier live en 2009 , empochant 7000$ au passage. Et voilà 40$ néo-zélandais transformés en un road trip d’un an autour de l’île, dont quatre mois en compagnie d’un pro de poker anglais dans une Subaru break. « Bonne expérience », conclut-il sur ce sujet. A tel point qu’il fera le tour du monde les quatre années suivantes, le tout financé en partie par le poker.

Il faut dire que l’énergumène n’est pas du genre conventionnel. Pas question de chercher du travail, un appartement, et la routine qui correspond. Alors, à la fin de ses études, il part en PVT (Programme Vacances Travail) pour une durée de un an. Idéal quand on a 25 ans, l’envie de découvrir de nouveaux horizons et de partir à l’aventure avec le minimum pour voir si on est capable de survivre. Bonne pioche côté cœur également, puisque c’est là-bas qu’Arnaud rencontre une Américaine qui deviendra sa femme. Il enchaine les petits boulots, et arrondit les fins de mois grâce au poker. Le périple devient australien durant les deux années suivantes avant que la famille ne s’agrandisse d’un petit Zane, né « at home » en Alaska. Direction Hawaï, le Mexique, et d’autres ensuite …

« Je n’ai jamais aimé les egos surdimensionnés que génère ce jeu, même en club. »

Membre parmi les plus actifs de Wam, c’est un matin d’Août 2007 qu’il a débarqué sur Wam. Il est aujourd’hui un pilier de la section MTT, répondant à toutes les Hand histories et postant régulièrement les siennes. Il n’a pas abandonné pour autant les communautés anglophones, dont PokerXfactoret sa section training. Il y apprécie tout particulièrement les réponses et avis toujours argumentés et complets, qui n’ont plus toujours cours en ces temps de cloisonnement, certains regs préférant limiter le partage d’expérience. Grand écart communautaire, puisqu’en parallèle de Wam, c’est une tendance qu’il a déjà connu sur le forum 2+2, dont il n’est plus que lecteur. Les bash récurrents et les avis lapidaires de randoms ont eu raison de sa motivation à post. Il y suit néanmoins encore la section Mid High Stakes MTT et avoue être fanboy de certains joueurs, comme T 54 T 97s et Chuck Bass avec lequel il est en contact.

Aujourd’hui, le poker occupe le peu de temps laissé libre par sa vie familiale. Régulier de Winamax, il joue en mode monoroom, mais pas par amour inconditionnel de l’opérateur. Flemme de créer d’autres comptes, adaptation à d’autres logiciels de jeu, ou encore la gestion du bureau de l’ordinateur, les raisons ne manquent pas. Il s’agissait surtout de la seule room qui l’autorisait à jouer depuis les Etats-Unis lorsqu’il y vivait. Période d’autant plus difficile qu’il s’y trouvait en plein Black Friday, sans possibilité de retirer sa bankroll. Il suivait le marché français, mais de loin en loin sans que les nouvelles rooms ne trouvent grâce à ses yeux à son retour dans l’Hexagone. Il a bien essayé du côté de feue Barrière Poker, mais n’a jamais pu se faire à un soft lent, des bugs à répétition, des sons atroces ou encore l’impossibilité de taper ses sizings. Les petits fields à prizepool faible et le manque de diversité ont stoppé rapidement cette envie de nouveauté. Etant persona non grata sur Pokerstars .fr et .com car toujours résident américain pour l’opérateur, il espère une vraie concurrence à Winamax comme à l’époque Pokerstars vs FullTilt Poker. Il rêve de softs se valant en termes de rapidité, qualité, visuel, d’offres de tournois diversifiée, d’un système de fidélité plus adapté, notamment aux joueurs de MTT.
Dans le même temps, il reconnaît ne pas suivre l’évolution du marché et des rooms, si ce n’est quelques nouveautés. Pour l’Expresso, par exemple, il n’était pas forcément opposé à l’idée mais lorsqu’il s’est rendu compte que ce type de format attire des joueurs récréatifs qui ne jouent pas d’autres variantes ou formats, crée de fortes dépendances, et les dégoûte dès qu’ils ratent une cagnotte, il admet ne plus être fan de l’opération.

Tout cela n’a finalement pas grande importance. Il est bientôt temps pour Arnaud et sa petite famille de refaire un grand écart : S’il est revenu en France il y a quelques mois, ne sachant pas exactement où ils voulaient vivre après un Alaska extrême (et sans poker), cela a permis à son fils de passer du temps avec ses grands-parents, à se femme d’accéder à la résidence française, et pour lui de retrouver les amis, le pain, le fromage ! Dans une semaine il pose ses valises à Maurice, où il est né. Outre l’environnement, le climat, la mixité des gens et une fiscalité avantageuse, sa femme pourra exercer sa profession de masseuse et lui pourra se consacrer de manière régulière au online.com, au live.casino et éventuellement d’autres petits jobs.

Une histoire de grand écart, donc, quand on réalise qu’au final c’est en quelque sorte grâce à Patrick Bruel que nous lisons les posts, et écoutons, de plus en plus souvent, les avis éclairés de

??? … by soxav

HellMeTal25

Parce qu’au début de l’internet, à l’époque d’AOL en illimité 56Kbits, il fallait trouver un nickname. Habitant dans le 25, amateur de metal (moins maintenant, mais il faut bien quelqu’un pour supporter rolinfect dans le chat de la radio) voilà comment le pseudo est apparu, puis resté.

Sick life putain :open_mouth:

Ou sinon j’ai trouvé au bout de 3 lignes donc jdis rien et je laisse les autres essayer de deviner :slight_smile:

Hellmetal?

Il était une fois …




...Une histoire de grand écart. L’histoire d’un joueur qui commence le poker en étant membre d’un club de poker à Besançon et qui participe à son premier live trois ans plus tard à … Auckland. L’histoire d’un joueur qui découvre ce jeu comme tout le monde en 2006 via les émissions de Canal+, mais qui ne passe pas assez de temps pour devenir vraiment bon à l’époque, et qui enregistre une 30e place pour son premier live en 2009 , empochant 7000$ au passage. Et voilà 40$ néo-zélandais transformés en un road trip d’un an autour de l’île, dont quatre mois en compagnie d’un pro de poker anglais dans une Subaru break. « Bonne expérience », conclut-il sur ce sujet. A tel point qu’il fera le tour du monde les quatre années suivantes, le tout financé en partie par le poker.

Il faut dire que l’énergumène n’est pas du genre conventionnel. Pas question de chercher du travail, un appartement, et la routine qui correspond. Alors, à la fin de ses études, il part en PVT (Programme Vacances Travail) pour une durée de un an. Idéal quand on a 25 ans, l’envie de découvrir de nouveaux horizons et de partir à l’aventure avec le minimum pour voir si on est capable de survivre. Bonne pioche côté cœur également, puisque c’est là-bas qu’Arnaud rencontre une Américaine qui deviendra sa femme. Il enchaine les petits boulots, et arrondit les fins de mois grâce au poker. Le périple devient australien durant les deux années suivantes avant que la famille ne s’agrandisse d’un petit Zane, né « at home » en Alaska. Direction Hawaï, le Mexique, et d’autres ensuite …

"Je n'ai jamais aimé les egos surdimensionnés que génère ce jeu, même en club."

Membre parmi les plus actifs de Wam, c’est un matin d’Août 2007 qu’il a débarqué sur Wam. Il est aujourd’hui un pilier de la section MTT, répondant à toutes les Hand histories et postant régulièrement les siennes. Il n’a pas abandonné pour autant les communautés anglophones, dont PokerXfactor et sa section training. Il y apprécie tout particulièrement les réponses et avis toujours argumentés et complets, qui n’ont plus toujours cours en ces temps de cloisonnement, certains regs préférant limiter le partage d’expérience. Grand écart communautaire, puisqu’en parallèle de Wam, c’est une tendance qu’il a déjà connu sur le forum 2+2, dont il n’est plus que lecteur. Les bash récurrents et les avis lapidaires de randoms ont eu raison de sa motivation à post. Il y suit néanmoins encore la section Mid High Stakes MTT et avoue être fanboy de certains joueurs, comme T 54 T 97s et Chuck Bass avec lequel il est en contact.

Aujourd’hui, le poker occupe le peu de temps laissé libre par sa vie familiale. Régulier de Winamax, il joue en mode monoroom, mais pas par amour inconditionnel de l’opérateur. Flemme de créer d’autres comptes, adaptation à d’autres logiciels de jeu, ou encore la gestion du bureau de l’ordinateur, les raisons ne manquent pas. Il s’agissait surtout de la seule room qui l’autorisait à jouer depuis les Etats-Unis lorsqu’il y vivait. Période d’autant plus difficile qu’il s’y trouvait en plein Black Friday, sans possibilité de retirer sa bankroll. Il suivait le marché français, mais de loin en loin sans que les nouvelles rooms ne trouvent grâce à ses yeux à son retour dans l’Hexagone. Il a bien essayé du côté de feue Barrière Poker, mais n’a jamais pu se faire à un soft lent, des bugs à répétition, des sons atroces ou encore l’impossibilité de taper ses sizings. Les petits fields à prizepool faible et le manque de diversité ont stoppé rapidement cette envie de nouveauté. Etant persona non grata sur Pokerstars .fr et .com car toujours résident américain pour l’opérateur, il espère une vraie concurrence à Winamax comme à l’époque Pokerstars vs FullTilt Poker. Il rêve de softs se valant en termes de rapidité, qualité, visuel, d’offres de tournois diversifiée, d’un système de fidélité plus adapté, notamment aux joueurs de MTT.
Dans le même temps, il reconnaît ne pas suivre l’évolution du marché et des rooms, si ce n’est quelques nouveautés. Pour l’Expresso, par exemple, il n’était pas forcément opposé à l’idée mais lorsqu’il s’est rendu compte que ce type de format attire des joueurs récréatifs qui ne jouent pas d’autres variantes ou formats, crée de fortes dépendances, et les dégoûte dès qu’ils ratent une cagnotte, il admet ne plus être fan de l’opération.

Crédit Photo : Pokernews

Tout cela n'a finalement pas grande importance. Il est bientôt temps pour Arnaud et sa petite famille de refaire un grand écart : S’il est revenu en France il y a quelques mois, ne sachant pas exactement où ils voulaient vivre après un Alaska extrême (et sans poker), cela a permis à son fils de passer du temps avec ses grands-parents, à se femme d’accéder à la résidence française, et pour lui de retrouver les amis, le pain, le fromage ! Dans une semaine il pose ses valises à Maurice, où il est né. Outre l’environnement, le climat, la mixité des gens et une fiscalité avantageuse, sa femme pourra exercer sa profession de masseuse et lui pourra se consacrer de manière régulière au online.com, au live.casino et éventuellement d’autres petits jobs.

Une histoire de grand écart, donc, quand on réalise qu’au final c’est en quelque sorte grâce à Patrick Bruel que nous lisons les posts, et écoutons, de plus en plus souvent, les avis éclairés de

??? ... by soxav

Wouauw sick portrait et sick life du Wameur concerné.

Bon, en faisant le difficile (pour une fois), je dirais que j’aurais aimé que tu en dises plus sur ses voyages (road trip, rencontres etc…) et moins sur le cloisonnement du marché, les expresso etc… Mais c’est parce que le sujet étudié à l’air d’avoir eu une vie tellement à l’opposé de ce qu’on peut connaitre en général !

Bref, happy que tu sois sur Wam (et que tu t’y sentes bien).

Ty pour la fiche Sox’ !

Hellmetal parce que les actifs en section mtt on a vite fait le tour.
Intéressant ce parcours.

Vraiment sympa ce portrait…

Bien sympa comme fiche, sur un wameur bien cool

Comme M2S j’aurai voulu en savoir un peu plus sur le parcours hors poker qui est assez atypique et qui à l’air bien interessant!

This x1000

nice !

Wow sick life ! Et sinon comme les autres.

Nice fiche, ça fait plaisir de revenir vers le haut du panier après les dernières fishs de randoms (Fada, bebert). En plus c’est un mec que j’ai vraiment plaisir à croiser sur les tables, c’est donc bien plaisant de découvrir le personnage.

Nice fiche!!

Nice, sacré baroudeur!

Cela me rapelle la série du voyageur sans l’humour noir. Bonne chance [AH]

Bon je crois que j’ai été démasqué.

Merci a soxav, très bon sens de l’écriture comme toujours, a bien cerné l’énergumène que je suis. :smiley:

Pour ce qui est de la partie voyage je tiens également un blog qui retrace mes 5 ans de voyage pour ceux qui sont plus intéressés(lien : https://nzoneyearonetime.over-blog.com). Pour la défense de soxav, pas évident de retracer tous les voyages en un petit article puis c’est un site de poker(à la base) donc voilà…

Merci à tous pour les commentaires positifs, ça fait toujours plaisir, puis si vous avez d’autres questions n’hésitez pas quoi. :slight_smile:

Il était une fois …




...Une histoire de grand écart. L’histoire d’un joueur qui commence le poker en étant membre d’un club de poker à Besançon et qui participe à son premier live trois ans plus tard à … Auckland. L’histoire d’un joueur qui découvre ce jeu comme tout le monde en 2006 via les émissions de Canal+, mais qui ne passe pas assez de temps pour devenir vraiment bon à l’époque, et qui enregistre une 30e place pour son premier live en 2009 , empochant 7000$ au passage. Et voilà 40$ néo-zélandais transformés en un road trip d’un an autour de l’île, dont quatre mois en compagnie d’un pro de poker anglais dans une Subaru break. « Bonne expérience », conclut-il sur ce sujet. A tel point qu’il fera le tour du monde les quatre années suivantes, le tout financé en partie par le poker.

Il faut dire que l’énergumène n’est pas du genre conventionnel. Pas question de chercher du travail, un appartement, et la routine qui correspond. Alors, à la fin de ses études, il part en PVT (Programme Vacances Travail) pour une durée de un an. Idéal quand on a 25 ans, l’envie de découvrir de nouveaux horizons et de partir à l’aventure avec le minimum pour voir si on est capable de survivre. Bonne pioche côté cœur également, puisque c’est là-bas qu’Arnaud rencontre une Américaine qui deviendra sa femme. Il enchaine les petits boulots, et arrondit les fins de mois grâce au poker. Le périple devient australien durant les deux années suivantes avant que la famille ne s’agrandisse d’un petit Zane, né « at home » en Alaska. Direction Hawaï, le Mexique, et d’autres ensuite …

"Je n'ai jamais aimé les egos surdimensionnés que génère ce jeu, même en club."

Membre parmi les plus actifs de Wam, c’est un matin d’Août 2007 qu’il a débarqué sur Wam. Il est aujourd’hui un pilier de la section MTT, répondant à toutes les Hand histories et postant régulièrement les siennes. Il n’a pas abandonné pour autant les communautés anglophones, dont PokerXfactor et sa section training. Il y apprécie tout particulièrement les réponses et avis toujours argumentés et complets, qui n’ont plus toujours cours en ces temps de cloisonnement, certains regs préférant limiter le partage d’expérience. Grand écart communautaire, puisqu’en parallèle de Wam, c’est une tendance qu’il a déjà connu sur le forum 2+2, dont il n’est plus que lecteur. Les bash récurrents et les avis lapidaires de randoms ont eu raison de sa motivation à post. Il y suit néanmoins encore la section Mid High Stakes MTT et avoue être fanboy de certains joueurs, comme T 54 T 97s et Chuck Bass avec lequel il est en contact.

Aujourd’hui, le poker occupe le peu de temps laissé libre par sa vie familiale. Régulier de Winamax, il joue en mode monoroom, mais pas par amour inconditionnel de l’opérateur. Flemme de créer d’autres comptes, adaptation à d’autres logiciels de jeu, ou encore la gestion du bureau de l’ordinateur, les raisons ne manquent pas. Il s’agissait surtout de la seule room qui l’autorisait à jouer depuis les Etats-Unis lorsqu’il y vivait. Période d’autant plus difficile qu’il s’y trouvait en plein Black Friday, sans possibilité de retirer sa bankroll. Il suivait le marché français, mais de loin en loin sans que les nouvelles rooms ne trouvent grâce à ses yeux à son retour dans l’Hexagone. Il a bien essayé du côté de feue Barrière Poker, mais n’a jamais pu se faire à un soft lent, des bugs à répétition, des sons atroces ou encore l’impossibilité de taper ses sizings. Les petits fields à prizepool faible et le manque de diversité ont stoppé rapidement cette envie de nouveauté. Etant persona non grata sur Pokerstars .fr et .com car toujours résident américain pour l’opérateur, il espère une vraie concurrence à Winamax comme à l’époque Pokerstars vs FullTilt Poker. Il rêve de softs se valant en termes de rapidité, qualité, visuel, d’offres de tournois diversifiée, d’un système de fidélité plus adapté, notamment aux joueurs de MTT.
Dans le même temps, il reconnaît ne pas suivre l’évolution du marché et des rooms, si ce n’est quelques nouveautés. Pour l’Expresso, par exemple, il n’était pas forcément opposé à l’idée mais lorsqu’il s’est rendu compte que ce type de format attire des joueurs récréatifs qui ne jouent pas d’autres variantes ou formats, crée de fortes dépendances, et les dégoûte dès qu’ils ratent une cagnotte, il admet ne plus être fan de l’opération.

Crédit Photo : Pokernews

Tout cela n'a finalement pas grande importance. Il est bientôt temps pour Arnaud et sa petite famille de refaire un grand écart : S’il est revenu en France il y a quelques mois, ne sachant pas exactement où ils voulaient vivre après un Alaska extrême (et sans poker), cela a permis à son fils de passer du temps avec ses grands-parents, à se femme d’accéder à la résidence française, et pour lui de retrouver les amis, le pain, le fromage ! Dans une semaine il pose ses valises à Maurice, où il est né. Outre l’environnement, le climat, la mixité des gens et une fiscalité avantageuse, sa femme pourra exercer sa profession de masseuse et lui pourra se consacrer de manière régulière au online.com, au live.casino et éventuellement d’autres petits jobs.

Une histoire de grand écart, donc, quand on réalise qu’au final c’est en quelque sorte grâce à Patrick Bruel que nous lisons les posts, et écoutons, de plus en plus souvent, les avis éclairés de

??? ... by soxav

Ca donne envie