redirection

Mon livre

Je vais essayer d’écrire un livre

donnez moi vos commentaires

dites moi là où vous arretez de lire.

« C’est combien ? »
_ Soixante dix euros pour quinze minutes sau cent cinquante euros pour une heure.
_ et pour toute la nuit ?
_ C’est mille euros.
_ … Ok. Viens. Je te veux pour la nuit. Dit l‘homme.
_ Attends ! Copine de moi vin cu mi.
_ Je n’ai pas l’argent pour deux femmes.
_ Mille euros pour deux prostituta. Copine vin perque je connais pas toi.
_ Ok.

L’homme et la jeune femme marchent sur le trottoir le long de la station service et atteignent la copine de la prostituée étrangère.
La prostituée explique à son amie, dans une langue inconnue du jeune homme, qu‘elles passeront la nuit à l’hôtel avec lui.
Les deux filles se retournent vers l’homme et lui sourient
« Toi tu veux mult sexe. »

_ Non, non … Je veux juste dormir avec deux femmes ce soir
car la mienne m’a quitté il y a un an et j’ai besoin de sentir une femme près de moi.
« Ce ??? » s’interrogent-elles en se questionnant du regard
_ Ah ! Vous ne comprenez pas bien le français.
_ Femme de toi partie ? demande la copine
_ Euh… Oui voilà ! Femme de moi partie.
_ Ok !!! Toi triste.
Comprend la première prostituée qui est d’une beauté rarissime.
Cheveux bruns, yeux noirs marqués d’une certaine perfection,
jambes fines, belle poitrine, lèvres pulpeuses, beau nez.
Tous ses traits sont dessinés avec harmonie et ses lignes fines
offrent une sensualité innée à cette femme de joie.

_ Oui. Je suis triste et je veux dormir avec une femme ce soir.
Mais deux ce sera parfait… Ajoute l’homme .

Des cheveux longs à hauteur des épaules et une barbe de sept jours, il a le teint pâle. Il semble avoir dormit pendant deux mois tel un ours sortant d’une hibernation difficile. Il porte une veste sweat-shirt marron en coton avec une fermeture éclaire verticale et une capuche. Il porte un jean et des basket requin noir et rouge.
Il emmène les deux prostituées vers sa voiture.
Une vieille Peugeot 205 rouge d’occasion.

Sur le chemin menant à la voiture, garée quelques rues plus loin, la première prostituée, choisie par l’homme, le fixe avec un sourire malicieux et un regard effacé. Elle glisse sa main le long de la fermeture éclaire de la veste de l’homme jusqu’à l’entre jambe du mâle surpris. Puis la main se resserre légèrement sur le jean. L’homme ne s’attendant pas à un tel élan de séduction de la prostituée inconnue, a un égarement émotionnel. Une étincelle d’amour. Elle semble heureuse avec lui et ce geste coquin lui signifie qu’elle le trouve attirant. La nuit semble bien commencer.

ça vous plait ?

C’est alors que la copine demande à l’homme son nom.
« Je m’appelle Rémi. Répond-t-il. Et vous ? »
La première prostituée dit : « Iliana. »
Et la seconde, la copine, se présente : « Katrina. »
Rémi s‘adresse à Iliana : « Vous êtes au Havre depuis longtemps ? »
_ Un an.
_ Et vous dormez où ?
_ Je ne peux pas te dire … problème police.
_ Ok, ok.

Iliana prend alors la bague de son index, prend la main de Rémi
et passe la bague en argent sertie d’un faux diamant, au petit doigt de celui-ci.

« Moi, toi. Mariés. » Dit-elle.
Et elle regarde intensément l’homme ému.

Le garçon sourit et rigole de façon légère brisant ainsi tout le sérieux de ce geste. Les deux filles rigolent aussi et s’amusent de ce « mariage impromptu »

Ils atteignent enfin la voiture, ouvrent les portes, celle du conducteur et les deux portes de derrières et y entrent. Les deux jeunes demoiselles discutent à l’arrière dans leur langue natale.
L’homme les interrompt et leur explique qu’il doit se rendre à la banque pour y faire un retrait. Et la voiture roule en direction d’une banque. L’homme sort faire un retrait mais la banque refuse de lui céder mille euros en une opération. Il ne prend qu’une somme de six cents euros seulement.
Les filles discutent entre elles et voyant que la soirée semble plutôt agréable avec ce client, elles acceptent de passer toute la nuit avec lui pour cinq cent euros.
Des six cents euros il déduit le prix de la chambre d’hôtel et donne directement leur argent aux filles.

Ils partent en voiture à l’hôtel.
L’homme leur offre un repas à emporter au kebab près de l’hôtel. Ensuite ils entrent, l’homme demande une chambre pour trois personnes, prend la clé, puis ils montent tous les trois et découvrent une belle chambre dans les teintes bois et beige.

Il y a deux lits. Un grand de deux places et un lit simple d’une place. Il y a une télévision accrochée au mur en hauteur et une petite table moderne ainsi qu’une chaise.

L’homme propose aux deux jeunes femmes de prendre une douche afin d’être prêts à se coucher. Tour à tour ils se lavent, lui, puis Katrina, puis Iliana.

Pendant qu’Iliana se douche, Rémi allongé sur le lit en caleçon voit Katrina en string et soutien gorge s’allonger à ses cotés.
Elle est câline et douce. Elle lui caresse le torse et il lui caresse les seins, qu‘elle a forts jolis et généreux.

Elle s’habitue à ce confort et lui demande de lui faire l’amour.
Rémi refuse. Il tente de faire comprendre à la charmante demoiselle qu’il ne souhaite pas avoir de relation tarifée avec une femme. Il est en leur compagnie par tristesse et solitude, mais en réalité il ne veut pas avoir de relation physique avec une femme dont il n’est pas amoureux. Pour ne pas vexer sa partenaire il l’embrasse sur le front et lui exprime de beaux compliments
sur ses atouts physiques.

Quand Iliana sort de la douche en sous-vêtements, Rémi est heureux. Il sourit niaisement devant la beauté onirique de cette déesse de l’amour. Ténébreuse et intelligente.
son regard et son corps éblouissent l’homme de trente-deux ans qui l’invite à le rejoindre avec célérité et contemplation.

voilà une musique que j’ai composé pour vous mettre dans l’ambiance

[evideo][/evideo]

Sur ce beau lit à deux places de couverture beige,
Rémi est entouré, à sa droite par Iliana qu’il tient d’un bras et
à sa gauche par Katrina qu’il tient de l’autre bras.
Rémi regarde la télévision décontracté, pendant que les deux filles se racontent leur journée dans ce dialecte étranger qui apaise Rémi.

« D’où venez-vous ?? » Demande le jeune homme.
_ Roumanie. Répond Katrina.

Après une heure de câlins devant la télévision
Katrina fatigue et part dans le petit lit dormir.

Iliana et Rémi se retrouvent seuls dans le grand lit.
Ils se caressent se massent doucement s’embrassent sur le visage et dans le cou sans jamais toucher les lèvres ni ce qui se trouve sous la ceinture. Mais ils s’enlacent naturellement, attirés l’un par l’autre, avec attention douceur et passion.

CHAPITRE 2
A la télévision un film se termine et la publicité prend la relève.
Rémi prend la télécommande et zappe sur d’autres chaînes.
Finalement il s’arrête sur la chaîne d’information ; une édition spéciale dont les images sont exceptionnelles. Elles présentent
un vaisseau spatial survolant le Nord-ouest de la France.
Le vaisseau est filmé en temps réel et semble se diriger
du Nord-est au Sud-ouest. Il voyage lentement au dessus du Crotoy dans la Baie de Somme au Sud-ouest de la Picardie. une journaliste présente alors une carte météo sur laquelle elle tente de présenter la trajectoire du vaisseau gigantesque.

« Oh mon dieu ! Il va passer au-dessus du Havre. Il va venir ici. »

La jeune fille est tétanisée par les images qu’elle découvre.
_ Ce ? Ce este ?
_ Ovni… UFO…
_ Da !
_ Tu connais ?
_ Da. Cum in films.
_ Oui.
_ Sunt frica.
_ Quoi ???

_ Moi… fricaaaaa !!!
_ Peur ?
_ Da ! Peur ! Unde este ceva asta ?
_ Je ne comprends rien.
_ Este in Le havre ?
_ Non. Pas encore ici… mais bientôt.
_ Demain ?
_ Peut être

Et la fille prend la télécommande change de chaîne, met un film américain d’auteur sous-titré en français et se blottit contre Rémi. Celui-ci lui caresse les cheveux et la serre dans ses bras.
Ils passent toute la nuit l’un contre l’autre parfois endormis, parfois tendres et affectueux.

Rémi a peur lui aussi mais il ne montre rien. Que va-t-il se passer ? Pense-t-il. Vont-ils attaquer ? les militaires vont-ils utiliser une arme nucléaire comme c‘est le cas dans de nombreux films de science-fiction ?

Les questions se bousculent mais l’un et l’autre s’apaisent.
Leur complicité d’un soir s’est muée dans la nuit et la crainte
en un lien de protection mutuelle et de chaleur sincère.
Ils tentent d’oublier le monde sous les draps.
Sensualité, douceur, respect…
Dans cette atmosphère unique, des liens et des sentiments naissent.

Katrina, elle, dort fermement. Ils n’ont pas voulu la réveiller et lui transmettre la peur qu’ils ont ressenti. Elle ronfle légèrement et ne se soucie de rien.

Le matin prend place à la nuit et les trois personnes se lèvent à sept heures. Rémi va chercher un chocolat chaud et des croissants pour Iliana et Katrina. Ils restent, mangent, se préparent trente minutes et s’en vont, s’échangeant leurs numéros de téléphone mutuellement.

De retour chez lui, Rémi allume la télévision sur une chaîne qui diffuse l’information en boucle et appelle son meilleur ami Wilfried.
« Allô Wilfried !
_ Allô!
_Tu as vu les infos ? Tu as vu l’Ovni ?
_ Non.
_ Alors allume tout de suite ta télé sur les infos en continue et regarde.
_ … Humm ça y est.
_ Tu le vois ?
_ Wooaaaaah !!! C’est quoi çaaa ???
_ Incroyable ce truc.
_ Purée ! C’est énorme. Ça fait au moins la taille de trois stades de foot en longueur et un stade en largeur.
Rémi prend le temps de bien regarder la télévision.
« Et tu as vu sa forme allongée ?… On a du mal à imaginer que ce gros cigare à hublots carrés ai pu traverser l’univers jusqu’à nous. C’est dingue cette forme d’ovale allongé et ces hublots carrés qui sont immenses. »
_ La taille de deux buts collés.
_ Oui c’est ça Wilfried. Quatre hublots de la taille de deux buts dont les transversales seraient collées pour former un carré. Et cette lumière jaune qui en sort… C‘est incroyable.
_ Tu as vu les hélicoptères qui l’encerclent? Demande Wilfried.
_ Oui.
_ C’est mauvais signe ça. Il faut se tirer d’ici. Ça va être un gros bordel.
_ Moi je reste. Je veux les voir en vrai les extraterrestres.

Je veux voir si ils ont une tête grise et des yeux noirs, allongés. Ou si ils ont une grosse tête noir sans yeux. Ils sont peut être pacifiques.
_ Ouais ! Bah… Moi je pars, là d’où ils viennent. Donc là où ils ont le moins de chance d’aller vu leur trajectoire : Lille.
_ Au fait hier soir j’étais avec deux prostituées, il y en a une qui m’a beaucoup plu.
_ (Rires.) Deux prostituées tu ne t’es pas ennuyé pendant la nuit.
_ Mais non je n’ai rien fait avec elles. Je me sentais seul, j’avais de l’argent et voilà.
_ Ouais, ouais … Bien sur… Deux prostituées, comme tout le monde. (Rires.)
_ (Rires.) Bon, Wilfried, je te laisse, je vais appeler mes parents pour les prévenir.
_ Salut.
_ Au revoir.

Ainsi Rémi appelle tour à tour ses parents, douze amis et ses cinq ex dont sa dernière petite amie qu’il désigne comme son ex- femme, pour les inviter à quitter Le Havre. Mais certains ne répondent pas, d’autres sont d’anciens numéros qui ne fonctionnent pas et d’autres sont déjà en route pour Paris.

Après tous ces appels il est déjà seize heures quarante six.
Imaginant le pire des cas, Il prépare un sac de voyage dans lequel il met sa tablette tactile, des vêtements, un grand couteau de cuisine, les chargeurs du téléphone et de la tablette, une brosse à dent et deux paquets de biscuits. Il vide le réfrigérateur des aliments périssables en les mangeant et prend quelques économies qui traînaient dans une boîte spéciale. Il prend les papiers importants et sort.
Puis il repart s’acheter des vêtements de sport dans un magasin spécialisé : De grosses chaussures montantes et renforcées par de l’acier au bout. Des pantalons renforcés pour le skate-board.
Une corde. Un couteau suisse et une lampe torche avec quatre piles. Après l’achat des vêtements, il passe au guichet de la banque faire un gros retrait de huit cent euros. Les parents de Rémi l’informent qu’ils partent chez une tante en Rhône-Alpes.

Le soir, Rémi invite Iliana et l’emmène au restaurant.
Iliana arrive avec des vêtements à strass et quelques paillettes sur le visage, des bottines noires, un jean et un grand sourire en voyant l’homme qui l’avait choisie la veille.
Ils vont dans un petit restaurant franchisé dont Rémi adore les omelettes. Ils en commandent deux mais elles sont si grosses et si onctueusement garnis de lardons, que les deux personnes ne mangent finalement que la moitié de leur assiette et constatent, qu’une seule omelette pour deux, suffisait.

A vingt et une heure trente huit, le Français et la Roumaine partent à l’hôtel. Elle lui propose de rester dormir avec lui pour trois cent euros. Ils discutent, mangent des gâteaux, elle lui montre des photographies de chez elle en Roumanie, sur internet. Ils regardent la télévision mais des émissions humoristiques qu’elle peut comprendre et qui détendent l’atmosphère. Et puis au cours de la conversation et des explications de français traduit pour Iliana via internet, cette dernière explique à Rémi qu’il n’est pas n’importe quel client à ses yeux. Il est le numéro un. et elle a une grande affection pour lui. Elle ne sait pas expliquer pourquoi,
mais c’est un garçon qui a pris une petite place dans sa petite vie et elle espère bien le revoir souvent. Rémi est flatté par ce discours.

Soudain sans aucune retenue, Iliana se jette sur Rémi et l’embrasse partout sur le visage et dans le cou. elle ouvre sa chemise de façon très brutale. et lui fait des baisers partout sur le torse et le ventre.

Rémi lui rend ses baisers et la déshabille fougueusement.
Puis, il pose sa main sur la bouche d’Iliana et embrasse sa main pour ne pas toucher irrespectueusement les lèvres d’Iliana.
La belle jeune femme retire la main et l’embrasse sur la bouche. Ils s’étreignent passionnément jusqu’à s’endormir d’épuisement.

Dans son sommeil il est pris d’un cauchemar.

Le ciel brillant et radieux Rémi s’agenouillait et la terre dévorée par un grand gouffre se fendait en deux. Des montagnes grandissaient des volcans surgissaient tandis que la mer s’écartait . La mer elle, formait un mur qui s’avançait vers la rive et engloutit tous les hommes.
Les arbres se pliaient, les habitations s’effondraient et le ciel s’assombrissait.
Quand soudain un être se tenant derrière lui dit :
« Je suis Karanos . Que fais tu à te prosterner ? »
Rémi expliqua face contre terre ce qui arrivait au monde.
« La vision que tu as est grave. Il arrivera une grande catastrophe. C’est pourquoi le cœur brave que tu es, lève toi. Crois en ce que tu dois croire et fait ce que tu dois faire. Toi le fidèle implore Dieu pour qu’il épargne quelques vies. Que tous les hommes ne soient pas sacrifiés. Car la catastrophe viendra du ciel sur la terre et ce sera une ruine.

« Aaaaaaah » Rémi s’éveille en sursaut. Jamais il ne connu pareille terreur.

Le lendemain matin Rémi regarde la télévision et suit l’avancée de l’ovni sur l’écran à plasma de l’hôtel. Il est dans le ciel de Dieppe et continue vers Le Havre.

Ils sortent de l’hôtel à midi, et marchent main dans la main en riant. Pourtant dans la rue une manifestation gronde : « Extraterrestres rentrez chez vous ! » « Où est l’armée ? » sont les slogans anti-ovni qui sont criés via les mégaphones.
la foule réunit des mères de familles, quelques étudiants,
des retraités et des représentants de trois syndicats.
Les deux amants retournent à la voiture.

CHAPITRE 3
Tout à coup, une boule de lumière de vingt centimètres de diamètre illumine le chemin devant et fonce vers la voiture. Elle traverse la paroi et la vitre sans les briser et soulève la voiture. Rémi prend alors la corde dans son sac, l’accroche au volant ouvre la portière d’Iliana et la fait descendre par la corde à cinq mètres du sol. Quand Rémi s’avance vers la porte il est trop tard. Le vaisseau spatial a mis une seconde pour aller de Dieppe au Havre et il se tient juste au-dessus de la voiture de Rémi qui continue de s’élever dans le ciel.

Sous le vaisseau gigantesque, une plaque de métal s’ouvre et une lumière intense aveugle les passants. La voiture est escamotée par la boule de lumière toujours active. La voiture entre dans le vaisseau et la plaque de métal coulisse et se referme sous elle.

La voiture est posée dans un hangars d’aviation spatiale. il y a une longue piste et une multitude de petits vaisseaux en forme de sphères de la taille d’une camionnette

La salle est lumineuse blanche et rouge.
Le sol est translucide et dessous se trouve une multitude de luminaires blancs et rouges. De sorte que les luminaires rouges
tracent une courbe d’espacement rouge entre les emplacements des vaisseaux sphériques. Ceux-ci, au nombre de douze, sont attachés au sol par des câbles métalliques.

Tu conseilles de l’afghan ou du marocain pour accompagner cette lecture?

lol je rassure les gens … les pages sont publiés à chaud sur ce blog mais je les retravaille quinze fois chacune jusqu’à ce qu’il n’y ai plu aucune faute dans la version sur mon ordi. je vais quand même essayer d’améliorer la lecture car les lignes sont longue ce n’est pas evident et pour vous et pour moi

La voiture est rapidement encerclée par des êtres fortement similaires en apparence à des humains. L’un d’eux; cheveux longs roux, peau claire et petite moustache; s’avance vers la porte et dit :
« Vene uhom ! Vene er uhom rezaju ! ko xini uhomi sezel ess. »

Et il tente d’ouvrir la portière, mais juste avant, Rémi appuie sur le bouton qui ferme les verrous des portières de l’intérieur. L’extraterrestre ne peut pas ouvrir la porte. Alors il sort un pistolet, tire sur la serrure trois fois et le laser orange fluo perce un trou dans la portière de cinq centimètres de diamètre. L’extraterrestre ouvre la porte, et attrape Rémi. Ce dernier refroidit à la vue du laser, ne résiste pas et sort de la voiture.

Il y a exactement cinq extraterrestres qui ont tous une apparence humaine, qui entourent Rémi et qui prononcent chacun un mot…

« Dunkel. » Dit un grand brun. Rasé peau claire et vêtements noirs sous cape blanche.

« Vamaya. » Dit une extraterrestre à l’allure d’une belle femme terrestre rousse aux cheveux longs frisés,
habillée d’une longue robe toute blanche.

« Mironel. » Dit un blond d’un mètre quatre-vingt environ. Cheveux blonds mi-courts qui tombent sur les sourcils. Vêtements bleus sous cape blanche.

« Kantermahiel. » Dit un homme robuste et trapu de taille moyenne aux cheveux bruns et à la longue barbe. Il est habillé d’un uniforme rouge et d’une cape blanche qu’il porte sur son flanc gauche.

« Hervaziel. » Dit enfin l’extraterrestre roux à moustache qui porte un uniforme vert, une cape blanche et une épée.

Les quatre mâles portent tous un uniforme sobre et d’apparence militaire. Quatre boutons posés de sorte que deux sont du coté du poumon humain droits et deux autres sont du côté du poumon humain gauche. Les uniformes ont un ourlet aux manches de couleur noire et sont assez longs puisqu’ils descendent à la moitié des cuisses. Un pantalon classique en tissu de la couleur de leur uniforme orne leurs jambes. Ils portent chacun de grosses bottes avec des fermoirs métalliques. Mélange entre des bottes de l’armée et des après-ski. Une belle ceinture leur serre la taille y compris à la femelle. Sur cette ceinture il y a ce qui ressemble à des armes et des petites sacoches noires. Les costumes sont taillés sur mesure car la taille des cols varient selon les êtres qui les portent. Rémi dit : « Rémi. »

Les extraterrestres parlent entre eux. La femelle tend sa main à Rémi lui sourit et semble l’inviter à la suivre. Il a quelques frayeurs mais il accepte pensant qu‘un sourire est plus agréable qu’un tir de revolver laser dans les rotules. Les quatre mâles les suivent. Après une porte, ils avancent dans un couloir de trois mètres de hauteur sur trois mètres de largeur. le mur est noir jusqu’à mi-hauteur, puis, entre le plafond et la partie noire, le mur est blanc, dans une matière semblable à du silicone. Puis au niveau de la tête de Rémi, des lampes turquoises carrées illu- minent le chemin les unes placées à un centimètre des autres en ligne horizontale. Les lampent s’allument et s’éteignent à mesure que les êtres marchent. Quarante lampes s’allument devant eux et quarante s’éteignent derrière eux. Les lampes détectant la direction et la vitesse des pas du groupe. Il y a une rangée de néons blancs au plafond blanc et de petites L.E.D vertes et bleues dans le sol en carbone vitrifié gris sombre.

Des symboles sont inscrits en lettres lumineuses turquoises sur une large porte métallique épaisse. Ils y entrent après que Kantermahiel ait tapé le code d’accès. À l’intérieur, il y a deux lits, un grand qui peut contenir une bête de trois mètres et un petit lit de deux mètres de long sur un mètre de large. Les murs sont de grands blocs d’acier dans lesquelles des barres de dix centimètres de largeur sont moulées en diagonales et en croix. Les murs sont peints en vert, mélange de pistache et de turquoise très clairs. De grandes lampes allongées comme des tubes au néon, parcourent la pièce dans les angles entre les murs et le plafond. Le plafond est haut de quatre mètres et tout un attirail d’outils métalliques à priori médicaux est accroché au plafond via des bras mécaniques articulés. Il y a aussi deux lampes suspendues et mobiles comme dans une salle d’opération. Lorsque Rémi voit tout ça, il sent que les choses vont mal tourner pour lui. Il se retourne et tente de sortir de la pièce par la grande porte de trois mètres de large, qui s‘était ouverte en deux et avait coulissé sur les côtés, lorsqu‘ils étaient entrés.

Mais tandis que Rémi amorce une course hors de la salle d’opérations chirurgicales ; Hervaziel brandit son épée appuie sur le bouton vert sur le plat de la garde et son arme s’illumine d’un vert fluo. L’épée d’Hervaziel a une lame d’un mètre, et une garde et un manche qui mesures ensembles trente centimètres. La lame a un seul bord tranchant comme un katana japonais mais la lame ici, est droite et le bout est plus effilé. comme un couteau de cuisine pointu mais d’un mètre. et les dix premiers centimètres du tranchant à partir de la garde sont dentés. Il y a des rectangles très fins de la forme d’un biscuit long au chocolat, incrustés dans la lame où sont placés des pierres luminescentes vertes. La lame mesure quatre centimètres de largeur à la base et s’affine doucement jusqu’à la pointe. Le bout de la lame n’est courbé que d’un coté. Le coté non tranchant est épais de cinq millimètres.
La poignée de l’épée est longue et peut être tenue par deux mains. La garde est formée de deux pyramides dont les bases sont des carrés fondus dans le manche, mesurant deux centimètres de coté. Les pointes de la garde sont perpendiculaires à la lame et longues de quatre centimètres. le manche et la lame sont de la couleur de l’acier poli, réfléchissant la lumière comme un miroir et la garde est faite dans un alliage couleur or.