redirection

Le fil des News

Retrouvez ici toute l’actu sportive comme nulle part ailleurs.

Roland-Garros : les chances françaises

Yannick Noah, en 1983, est le dernier Français vainqueur de Roland-Garros. Imprimez cette phrase, elle devrait servir à nouveau : difficile en effet d’imaginer l’un de nos représentants gagner le 7 juin prochain à Paris, tant leur bilan frôle la double faute. Richard Gasquet est le seul lauréat tricolore d’un tournoi sur terre battue cette saison, à Estoril. Tsonga fatigué, Simon incertain quant à son état physique, Monfils incarne sans doute notre meilleure chance. Présentation des forces et des faiblesses en présence.

Gaël Monfils

Demi-finaliste à Monte-Carlo puis battu au deuxième tour à Madrid par Granollers : Monfils est capable du pire comme du meilleur, mais le public parisien l’adore et son bilan à Roland est bon : une demi-finale en 2008 et trois quarts en 2009, 2011 et 2014. L’incontrôlable Monfils dispose désormais d’un environnement stable et d’un coach, Jan De Witt, qui l’aide à travailler son jeu vers l’avant. À son tableau de chasse cette année : Federer, Dimitrov et Tsonga.

Points forts :

- Il est aussi bon en tennis qu'en stand-up.

- Capable de sortir des coups venus de Pluton.

Points faibles :

- Fragile, à force de faire des saltos sur les surfaces.

- Il manque de technique, mais il compense avec d'autres qualités. Comme Njie.

Jo-Wilfried Tsonga

Évincé du top ten, Jo-Wilfried Tsonga semble sur le déclin, physiquement moins impressionnant et mentalement toujours aussi léger avant d’affronter les cadors. « Aujourd’hui il faut être réaliste, je ne fais pas partie des favoris », avoue le demi-finaliste de Roland-Garros 2013, battu par Goffin à Rome. Quatre victoires et quatre défaites en quatre tournois sur la terre battue cette saison : Tsonga doit-il déclarer forfait pendant qu’il en est encore temps ? Non, à l’écouter : « Je n’ai pas toujours eu besoin d’être favori pour faire de grandes choses. Je continue à y croire tout simplement, parce que je continue à croire en moi. »

Points forts :

- C'est le Hulk français : gros coup droit, bon service.

- Il sait être bon à Roland-Garros (demi-finale en 2013).

Points faibles :

- Il doit encore sécher ses larmes de la Coupe Davis.

- Il a perdu de la crédibilité sur les derniers mois.

Richard Gasquet

À Estoril, Richard Gasquet s’est redonné confiance en battant en finale du tournoi l’Australien Nick Kyrgios, tombeur de Federer à Madrid. Un seul set perdu en cinq matches et un dos qui tient bon : le Français, 16ème à l’ATP, peut viser un 8ème à Paris, comme en 2011, 2012 et 2013. Pour espérer aller plus loin, son incapacité à tenir en cinq sets reste problématique, surtout après une absence aussi longue (huit semaines).

Points forts :

- Joli revers, tu as.

- Considéré comme le Javier Pastore du tennis, il a encore beaucoup de soutiens.

Points faibles :

- Il a parfois le mental de Yoann Gourcuff.

- Son coup droit. C'est bien connu, Pastore ne joue que de l'extérieur.

Gilles Simon

Toujours gêné par ses cervicales, Gilles Simon avance masqué à Paris. Le 13ème mondial a obtenu des résultats quelconques dans la première partie de saison : un 16ème de finale à Monte-Carlo et un quart de finale à Bucarest. Il a plié en trois sets (2-6, 7-6, 1-6) contre David Ferrer à Monte-Carlo et a préféré faire l’impasser sur Madrid. Comme souvent, son intelligence tactique compensera ses problèmes physiques… du moins lors des premiers tours.

Points forts :

- Pour lui marquer un point facilement, il faut lui mettre du sable dans les yeux.

- Jamais exceptionnel mais toujours régulier dans le top 20.

Points faibles :

- Avec lui, tout est sous contrôle, peu de folies.

- Il a un double-prénom, jamais simple quand on veut se faire un nom.

Les autres Français

Adrian Mannarino a été bon sur dur, mais dans le dur sur terre battue. Brillant à Indian Wells et Miami en mars, le 29e joueur mondial s’est incliné à Rome contre Marsel Ilhan (87e) Son bilan sur l’ocre : 18 défaites et 4 victoires, et un seul succès en six participations à Roland. Out. Jérémy Chardy reste limité sur cette surface, comme en témoignent ses quatre défaites sur terre battue en cinq rencontres cette saison. Chez les femmes, l’irrégularité d’Alizé Cornet (vainqueur de Simona Halep à Madrid mais aucune autre victoire contre une joueuse classée dans les cinquante premières) et de Caroline Garcia les condamne, au mieux, à un huitième de finale.

Les pages à suivre

@WinamaxSport

Winamax Sport

La page des paris sportifs

Le plateau TV du week-end

Football, Tennis, Formule 1 : il y en a pour tous les goûts ce week-end. On vous donne les clés pour bien vibrer.

Vendredi 22 mai

20h30, Ligue 2, Eurosport DIJON - NANCY

Dernier coup de collier à donner pour les écuries de deuxième division : Troyes et le Gazélec sont assurés de monter, mais pas Angers, qui doit faire au moins nul face à Nîmes pour assurer le cachou et profiter de la dernière année à trois montées pour retrouver l'échelon supérieur. Le match à surveiller sera celui entre Dijon (5e) et Nancy (4e), qui peuvent chacun espérer coiffer Angers au poteau en cas de contre-performance des Scoïstes. Miser sur une victoire des Bourguignons à domicile @2,7 peut rapporter gros. Le succès des Lorrains @2,6 est lui aussi rentable.

Samedi 23 mai

15h30, Bundesliga 1, BeIN Sports 2 DORTMUND - BRÊME

Vous cherchez un bon programme télé pour faire la sieste après avoir englouti votre poulet-frites ? On a ce qu'il vous faut : la dernière journée de Bundesliga avec neuf rencontres en simultané. Ne vous inquiétez pas, on ne va pas vous infliger cette peine. Mais pour tranquillement s'assoupir après avoir mis un petit billet, on ne peut que vous conseiller l'affiche entre le Borussia Dortmund et le Werder Brême où les locaux sont favoris @1,25.

20h, Ligue 1, Canal + et BeIN Sports 1 MULTIPLEX LIGUE 1

Mettez le pack de bières au frais et rameutez les copains : impossible de manquer l'ultime Multiplex Ligue 1 de la saison. Entre la boum au Parc des Princes à l'occasion du titre parisien, le duel à distance entre Monaco, Marseille et Saint-Étienne pour la troisième place et le dernier match d'Évian en Ligue 1, la fête sera totale samedi !

Durant les deux heures de direct, on suivra donc la bataille finale pour la place qualificative en Ligue des Champions, même si celle-ci pourrait proposer autant de suspense qu'un épisode de Julie Lescaut, Monaco ayant son destin entre les mains. La formation de Jardim est sûre de finir troisième en cas de victoire à Lorient et ira donc à la pêche aux trois points chez les Merlus : un succès de l'ASM est @1,5. En cas de faux-pas monégasque, Marseille sera ravi de grimper sur le podium au finish : miser sur l'OM au Vélodrome @1,23 face à Bastia semble une base solide pour votre #MortalCombo. Moins ambitieux que les Phocéens, les Verts devraient cependant faire bouillir le Chaudron face à Guingamp : Saint-Étienne gagne par au moins 2 buts d'écart est @1,62.

Fin de saison rime avec défenses à l'abandon : on assiste régulièrement à un festival de buts lors des dernières journées de Ligue 1. Une bonne opportunité de miser sur les artificiers de notre championnat préféré ! Cavani premier buteur face à Reims @3,15, Gignac premier buteur contre Bastia @3,45, Lacazette premier buteur à Rennes @4,5 : de quoi remplir votre panier de billets !

Dimanche 24 mai

PREMIER TOUR DE ROLAND-GARROS

Le préposé au tirage au sort de Roland-Garros vient d’annuler ses vacances aux Baléares : en désignant comme possible adversaire de Nadal le Serbe Djokovic en quart, il n’a pas facilité la tâche de l’Espagnol. Au premier tour, Nadal sera bien sûr favori contre Quentin Halys, coté @8,50. Les bons plans de ce premier tour se nomment Lucas Pouille (@3,30 contre Gilles Simon), Jack Sock (@3,15 contre Dimitrov), Paul-Henri Mathieu (@8 contre Kei Nishikori) et Marcos Baghdatis, @2,05 face à Karlovic.

14h, Formule 1, Canal + GRAND PRIX DE MONACO

Alors que certains sont prêts à payer 2 000 € pour regarder des bolides défiler à plus de 300 km/h le cul vissé dans des gradins en tôle, pourquoi ne pas rester chez vous afin d'admirer le spectacle ? Au menu du week-end, l'un des Grand Prix les plus spectaculaires du circuit : celui de Monaco ! Et pour vibrer avec les pilotes dans les étroites rues de la Principauté, pourquoi ne pas croire au podium @17 du local de l'étape Romain Grosjean ?

Les pages à suivre

@WinamaxSport

Winamax Sport

La page des paris sportifs

Tennis : interview de Pierre-Étienne Léonard

Dingue de sports ou dingue tout court, Pierre-Étienne Léonard prépare son été avec les résumés de Roland-Garros et le championnat de rugby à sept en ligne de mire. S'il n'aime pas "prendre des raclées" au poker, il n'hésite pas à en donner lorsqu'il parle tennis. Attention, certains de ses coups droits peuvent faire mal !

Tu t’es fait repérer sur Internet, un peu comme « Norman fait des vidéos ». Ça te procure quelle sensation ?

Je n’avais rien calculé, tout était spontané. D’année en année, je gagnais en confiance et vu que personne n’avait l’air de me suivre, j’en ai profité. J’avais même balancé mon numéro de téléphone une fois mais personne ne m’a appelé, donc j’en ai conclu que je pouvais me lâcher de plus en plus. J’étais très surpris de voir le buzz généré par mes commentaires. En pensant faire plaisir à quelques personnes, le phénomène m’a finalement dépassé. En bon souvenir, je me souviens d’une après-midi avec Fabrice Éboué qui était venu commenter le match avec moi sur le Suzanne Lenglen. C’était top. J’ai tout de suite pigé que l’humour et le tennis allaient ensemble. Bien sûr, commenter sur le net est différent, j’en ai bien conscience.

C’est vrai que pour être engagé sur Stade 2, il faut réaliser un ippon sur Céline Géraud ?

Je connais Céline depuis très longtemps, c’est une grande sportive. Elle sait que j’aime voyager, alors un jour, je lui ai lancé le défi de me suivre à la Réunion pour participer à une course durant six jours et six nuits. Pendant cette semaine, elle s’est relâchée, elle a débranché le cerveau et c’est à ce moment que j’ai pris conscience de son mental de championne. Aujourd’hui, si elle me proposait un combat de judo, je pense que je la mettrais à terre, mais au sol, elle me maîtriserait sans souci !

En tout cas, on me laisse carte blanche et on me fait confiance dans cette émission. Mon reportage sur le dopage a fait parler mais c’est le résultat de beaucoup de travail. Le but n’était pas de fournir une notice pour se doper mais simplement vulgariser le sujet. Je suis content de voir que l’agence mondiale anti-dopage a réagi depuis la diffusion…

Parlons tennis… Tu vas commenter des matchs à Roland-Garros cette année ?

Non, pas de commentaires cette année. Je m’occupe du résumé de la journée le soir, comme je le faisais l’année dernière. On essaye de faire de « l’infotainment » : informer et divertir. Je vais tenter des choses plus subtiles… En 2009, j’avais fait le bilan féminin en slam, une idée glissée par Cyril Hanouna avec qui je travaillais. J’aime explorer de nouveaux trucs. Le fait d’avoir commenter Roland-Garros de manière décalée m’a fait connaître mais ça a également retardé mon éclosion. J’ai eu des retours positifs certes mais est-ce que le grand public serait réceptif sur la durée ? En tout cas, je vais garder le ton pour mes résumés mais ce sera différent de ce que je réalisais sur le net.


Est-ce vrai que les tennismen se dopent pour rester éveillés durant les questions interminables de Nelson Monfort ?

Tiens, puisque tu parles de dopage, je trouve que le sujet est extrêmement tabou dans le tennis. Il y a un manque de transparence évident avec des contrôles réalisées par des agences anti-dopage privées. C’est n’importe quoi. Je suis parfois surpris des longues absences de joueurs/joueuses qui reviennent sur le circuit comme si de rien n’était. C’est stupéfiant, sans mauvais jeux de mots.

Concernant Nelson, je l’adore. Il passe très bien à l’antenne. Même si ses questions font parfois des kilomètres, les sportifs sont toujours heureux d’être à son micro.

Quel Français fera vibrer le pays durant cinq jours avant de s’incliner en trois sets en quart de finale ?

Les quatre mousquetaires nous bassinent depuis des années mais ils ont des raquettes en plastique. Je fais confiance à Gaël Monfils. Il sait se sublimer devant un public, il s’en sert parfaitement pour assomer son adversaire. Il a ce côté « américain » qui me plaît et oui, je le vois bien chuter en quart de finale. Mais en cinq sets !

Le joueur le plus drôle du circuit est-il toujours Djokovic ?

Oui, j’ai une anecdote sur Novak d’ailleurs. À l’occasion du tournoi de Bercy, je vais le voir à l’entraînement. Je le suis même jusqu’aux vestiaires. Dans le couloir, des ramasseurs de balles jouaient à la console. Il s’est arrêté devant eux, leur a piqué une manette et a commencé à jouer. Les petits étaient heureux comme jamais. Il le fait gratuitement, c’est naturel, que la caméra soit là ou non. C’est une vraie personnalité.

Et le moins marrant ?

Marcelo Ríos ! Il a remporté quatre fois d’affilée le Prix Citron à Roland-Garros, joueur au plus mauvais caractère. Pourtant, j’adore le personnage. On manque de râleurs, de caractériels dans ce sport même s’il est allé loin en traitant Monica Seles. Comme on a l’habitude de le dire souvent pour le rap : le tennis, c’était mieux avant.

C’est le moment de te mouiller : tu as un favori pour Roland-Garros ?

Je veux bien me mouiller pour Dominika Cibulková. Non, je mise sur Serena Williams chez les filles. Chez les gars, j’espère le Grand Chelem pour Djokovic. J’aime l’idée de vivre des moments historiques et je pense que c’est possible, avec un Nadal en retrait ces dernières semaines. Novak aura certainement le public derrière lui.

Et la surprise du chef ?

Pour la surprise du tournoi, j’annonce la victoire de Martina Hingis en double. Beaucoup de gens l’ont oublié mais elle a repris la raquette et l’utilise toujours aussi bien ! Avec sa partenaire indienne Sania Mirza, elles sont même en tête du classement 2015. En simple, je vois bien le Japonais Kei Nishikori. Il est surprenant depuis un an et ne cesse de progresser. Il va passer en deuxième semaine, c’est une certitude. Après, tout dépend du tirage au sort…

En parcourant tes tweets, on a cru sentir chez toi un amour pour le PSG. Tu le vis bien ?

J’ai vécu une saison assez sereine, agréablement surpris par la fin de championnat. Je vais au Parc depuis que je suis petit, je me souviens même de la finale de la Coupe des Coupes en 1996. C’est surtout l’occasion de voir mes potes, hors de question d’aller en tribune de presse si je ne bosse pas. Au moins, je peux allégrement insulter les adversaires.

Les pages à suivre

@WinamaxSport

Winamax Sport

La page des paris sportifs

Roland-Garros : faut-il miser sur Rafael Nadal ?

Vainqueur de 9 des 10 derniers internationaux de France, Rafael Nadal n’a jamais eu une cote aussi haute à Paris : il est @5 pour remporter le tournoi !

En 2015, Nadal compte déjà 5 défaites sur terre battue. C'est autant qu'entre 2011 et 2013. Et qu'entre 2006 et 2010. Battu deux fois par Fognini, balayé par Djokovic, Wawrinka et Murray, le nonuple vainqueur de Roland-Garros ne sera pas favori à Roland-Garros, pour la première fois en dix ans. Le moment de miser sur sa cote @5 ?

En cinq sets, Rafa est imprenable

Anne Hidalgo a remis cette semaine la médaille Grand vermeil "au plus Parisien des Majorquins". Qu'est-ce donc ? Une récompense pour les personnes ayant accompli « un acte remarquable concernant la capitale ». Typiquement le genre de prix qu'on file aux anciens combattants. Pourtant, chère Anne, il ne faut pas enterrer Rafa si vite.

Car à Roland-Garros, Rafa n’a perdu qu’une fois. C’était en 2009, lors d’un huitième de finale contre Robin Söderling (6-2, 6-7, 6-4, 7-6). La légende dit que l’Espagnol aurait ce jour-là jeté un sort au Suédois. Depuis 2011, Robin est cloué au lit à cause d’une mononucléose. Coïncidence ? On ne croit pas.

Une unique défaite pour 66 victoires, donc. Si la terre battue parisienne est le royaume de Rafa, c’est, au-delà de la technique, grâce à son imposant physique taillé pour les matches marathon sur cette surface. Ils sont en effet quelques-uns à avoir bousculé l’Espagnol près de la Porte d’Auteuil. Le premier fut Paul-Henri Mathieu en 2006, lors d’un combat épique de 4h53 (5-7, 6-4, 6-4, 6-4). Oui, quatre sets pour près de cinq heures de jeu ! Il y a également eu ce premier tour contre John Isner en 2011 (6-4, 6-7, 6-7, 6-2, 6-4). Mais au final, les interminables combats - et il faut forcément prendre son temps pour venir à bout de l’Espagnol - tournent à l’avantage de Rafa. En dix ans à Paris, le Majorquain n’a concédé que 20 petits sets à ses adversaires.

En quarts contre Djokovic !

Néanmoins, tout n’est pas rose pour Rafael Nadal. Vous imaginez bien qu’il ne serait pas coté @5 sinon ! Après un bilan 2014 très moyen (4 titres, 48 victoires, 11 défaites), l’Espagnol part sur des bases bien pires en 2015 (1 titre, 26 victoires, 9 défaites). Surtout, il est inquiétant sur le terrain. Incapable de tenir tête à Andy Murray (6-3, 6-2) à Madrid, totalement impuissant face à Stan Wawrinka et Novak Djokovic lors des Masters 1000 de Rome et Monte-Carlo, Rafa ne fait plus peur et chute au classement.

À tel point que, pour la première fois en dix ans, il ne figure pas parmi les quatre premières têtes de série du tableau. L’hypothèse d’un tirage au sort catastrophique se profilait. Et il a eu lieu. Pour s’imposer, Rafa va devoir réaliser un véritable tour de force puisque sur son chemin se dresseront Dimitrov en huitièmes, Djokovic en quarts, Murray en demi et Federer en finale !

La finale avant l’heure aura donc vraisemblablement lieu en quarts de finale contre Novak Djokovic, intouchable ces derniers temps. Mais à Paris, Nadal l’a déjà battu 6 fois ! Le couperet n’était néanmoins pas passé loin en 2013 quand, au terme d’une lutte de 4h37, Rafa avait dû jouer les prolongations dans le cinquième set pour s’imposer (6-4, 3-6, 6-1, 6-7, 9-7). En manque de sensations, et pestant toujours contre une nouvelle raquette qu’il ne parvient pas à dompter, Nadal peut-il le refaire ? À Roland-Garros, tout lui semble possible.

Quel autre outsider ?

Hormis Rafael Nadal, ils ne sont pas nombreux à pouvoir espérer faire tomber le grand favori Novak Djokovic, coté @1,8. Trois joueurs tout au plus. Et parmi eux, le profil de Kei Nishikori, coté @12, est particulièrement intéressant. Tête de série numéro 5, le finaliste de l’US Open ne s’est jamais câché qu’il avait pour objectif de remporter le tournoi. Et son parcours est à sa portée : Paul-Henri Mathieu, Verdasco, Bautista-Agut, Tsonga, Fognini et Berdych sont des joueurs qu’il peut dompter avant une éventuelle demi-finale contre Roger Federer. Vainqueur en 2009, le Suisse est coté @11. S’il pratique toujours un tennis aussi pur, les années passent et le roi Roger ne tient plus toujours la distance lors des matches en 5 sets. Et Andy Murray ? Le Britannique a remporté cette année les deux premiers tournois de sa carrière sur terre battue, terrassant Rafael Nadal 6-3 6-2 en finale à Madrid. Sa cote @10 est très intéressante !

Les pages à suivre

@WinamaxSport

Winamax Sport

La page des paris sportifs

Top 5 de ce qui va nous manquer en Ligue 1

La Ligue 1 nous quitte pendant quelques semaines, c’est l’occasion de pleurer sur ce qu’il va nous manquer !

Oui, la Ligue 1 2014/2015 est terminée et déjà la nostalgie pointe le bout de son nez à la fenêtre de notre coeur. Une longue saison où Lyon et Marseille ont cru au titre avant de voir Paris tuer leurs espoirs, où Lens a terminé la sienne sans se faire disqualifier, où Rennes n'a remporté aucun trophée et où Nice n'a disputé que trois matches ouverts à ses supporters. On anticipe la saison prochaine avec le Top five des trucs sympathiques qui vont nous manquer en Ligue 1 en 2015/2016 !

1. Les conférences de presse de Dupraz

Les mécréants ont eu raison du coach à la plus grande gueule de Ligue 1. Quand on l'embrouille, il réplique, quand on ne l'embrouille pas, il invente une embrouille. Pascal Dupraz a animé les dernières saisons en brillant en conférence de presse, à défaut de briller avec les Modou Sougou, Mongongu et Abdallah sur les terrains. Qui peut prendre le relais du Savoyard pur sang ? Willy Sagnol a clairement le profil, même si on l'a déjà vu fondre en larmes sur le banc après la polémique du début de saison. Non, quand on est une grande gueule, on ne pleure pas. Pascal, tu vas nous manquer, toi qui ose remettre en doute les capacités d'un coach adulé par Pep Guardiola et Javier Zanetti, toi qui est capable de te prendre la tête avec les poignées de porte. Si Évian semble moyennement apprécié par les amateurs de football, Dupraz s'est bien battu jusqu'au bout pour sauver ce que personne ne voulait garder. Chapeau.

2. Les polémiques sur le franchissement de ligne

Frédéric Thiriez lance une réforme par jour. Il est motivé. La goal-line technology fera son apparition en Ligue 1 lors de la saison 2015/2016, et en attendant que la mesure ne soit finalement annulée (on ne serait pas surpris), on peut commencer à dire adieu aux polémiques sur les franchissements de ligne. Finis les classements réinventés en fonction des décisions des arbitres comme ce fût le cas cette année après le but refusé à Lucas Ocampos contre Lyon. L'installation a un coût et elle risque de ne pas être utilisée de la saison, mais tant pis, c'est la classe ! On a déjà hâte de voir l'utilisation de la technologie sur des frappes qui font trembler les filets. On vérifiera, au cas-où... Même si la fiabilité est assurée, on s'attend quand même à ce que Marco Verratti conteste la machine.

3. La série Gervais et Mammadov

On pensait que la série tiendrait plus de saisons que "Les Feux de l'amour" mais Mammadov en a décidé autrement. Lens repart en Ligue 2 après une saison dans l'élite sans pouvoir recruter, ni jouer dans son stade, ni aligner un joueur âgé de plus de 13 ans. Certains racontent même que les Lensois se faisaient prêter leurs crampons par des potes. Quelle équipe va désormais demander la disqualification de Lens pour récupérer des points perdus face au club ? Qui va retrouver le RIB d'Hafiz ? Qui va surtout sauver l'honneur d'un club historique du championnat ? Ce qui est certain, c'est que ce combat est terminé et il va falloir trouver un autre feuilleton pour la prochaine saison. On fait confiance aux mecs de la Ligue et aux dirigeants français.

4. Le couloir du Parc Lescure

Bordeaux a dit "adieu" à Lescure ! Le seul stade où le GPS est obligatoire pour traverser le couloir reliant les vestiaires à la pelouse. Des grands noms sont passés par la Gironde, on peut citer Lizarazu, Zidane, Dugarry, Pauleta ou encore Jean-Claude Darcheville. Tous ont laissé leur empreinte à Chaban-Delmas et une nouvelle histoire est prête à s'écrire dans le Nouveau stade de Bordeaux. Les mecs du marketing ne se sont pas pris la tête pour le nom. Attention néanmois, il faudra recruter des attaquants adroits puisque les tribunes sont plus proches du terrain désormais.

5. Le suspense de la 18e place

C'est l'autre mesure lancée par Frédéric Thiriez qui nous privera d'un suspense dans le bas de tableau. Il n'y aura plus que deux descentes en Ligue 1, autrement dit, il faudra être sacrément nul pour prendre l'ascenseur vers la Ligue 2 la saison prochaine. C'est dommage, on s'amusait bien devant les duels de bas de classement du type Evian contre Sochaux. Toujours sympathiques les petites bastons entre Renard et Dupraz, les coups bas entre équipes en difficulté quand le haut du tableau est joué depuis longtemps... Bon, c'est terminé. On a une pensée pour les clubs de Ligue 2 qui n'auront plus que deux places pour monter dans l'élite, une difficulté plus élevée que le gain de la Ligue des champions. Bon courage.

Les pages à suivre

@WinamaxSport

WinamaxSport

La page des paris sportifs

Cette finale de la sixième édition de la Ligue Europa oppose deux clubs qui ne se sont jamais rencontrés : le FC Séville affronte le FK Dnipro à Varsovie pour un trophée européen et une place en Ligue des champions !

Séville connaît la musique

On s'était promis de ne plus jamais écrire le nom de cette équipe impossible à orthographier correctement sans l'aide de Google. Mais voilà, Dnipropetrovsk, 81 points minimum au Scrabble, s'est hissé jusqu'en finale de la Ligue Europa. Une performance inédite pour ce club ukrainien qui n'avait jamais dépassé le stade des quarts de finale d'une coupe européenne.

En face, le tenant du titre sévillan a déjà gagné à trois reprises la C3 (2006, 2007 et donc 2014) en trois finales. La formation espagnole n'a concédé qu'une seule défaite dans cette compétition cette saison et elle est très logiquement favorite pour ramener une nouvelle fois ce trophée à la maison. Sur le terrain neutre du stade national de Varsovie, la victoire des Andalous est @1,65.

À la recherche d'un titre depuis 1989 (une coupe nationale), Dnipro aura les crocs au moment de fouler la pelouse. D'autant plus que pour la carotte est bien plus juteuse cette année, puisque le vainqueur de la finale sera directement qualifié pour la phase de poules de la prochaine Ligue des champions ! Équipe très difficile à bouger (une seule défaite lors des matches à élimination directe disputés face à Olympiakos, Ajax, Bruges et Naples) composée à majorité de joueurs locaux, Dnipropetrovsk n'est pas à prendre à la légère. Alors pourquoi ne pas tenter un coup de poker ? Un succès des Ukrainiens dans le temps réglementaire @5,8 peut vous faire gagner gros.

Dnipro, c'est costaud

Le Dnipro ne paye pas de mine avec son équipe composée majoritairement de joueurs locaux, mais il est très soudé. En 14 matches de Ligue Europa cette saison, le club de l'Est n'a concédé que 10 buts. On se souvient que ses cages étaient restées inviolées lors de la double confrontation contre Saint-Étienne en phase de poule. On imagine bien les Ukrainiens bétonner en défense pour assurer leur rendez-vous de l'année, avant de penser à attaquer et marquer... Miser sur un match avec moins de 2,5 buts @1,56 peut donc constituer une bonne entrée en matière pour un #MortalCombo.

De son côté, Séville a marqué 26 buts dans cette compétition et en a encaissé 12. Un score étriqué est donc largement envisageable. En ayant misé sur le favori, tentez votre chance sur un score exact : le 0-1 est @5,3, le 0-2 @6,4 et le 1-2 @8,5.

Les joueurs à suivre

1. Evgen Seleznov

« Mais si... Il y en a un là... Selzinskov ? » Quand on lui demande s'il connaît un joueur de l'attaque du Dnipro, Unai Emery est capable de sortir un unique nom. En l'écorchant. Difficile d'en vouloir à l'entraîneur sévillan devant les statistiques affichées par l'attaquant vedette du Dnipro cette année : 9 matches pour 2 buts en Ligue Europa. Mais en demi-finales, c'est bien lui qui a permis aux Ukrainiens de faire tomber Naples, inscrivant un but à l'aller et un autre au retour. Sa cote pour marquer durant la finale est @3,5 !

2. Carlos Bacca

Suivi par Tottentham, l’Atletico Madrid ou encore Tottenham, le sous-coté Colombien Carlos Bacca reste sur 3 buts inscrits en 4 matchs dans cette compétition. Un bilan de 15 buts en 37 rencontres disputées en quatre ans, soit un peu moins d’un tous les deux matchs : on se laisse facilement tenter par sa cote de premier buteur @4,90. Son remplaçant, Kevin Gameiro, a le don pour être décisif dès qu’il entre en jeu : déjà quatre buts pour le Français dans cette compétition, dont un en demi-finales. Sa cote est @2,4.

Les pages à suivre

@WinamaxSport

Winamax Sport

La page des paris sportifs

Interview de Frédéric Sammaritano

Milieu offensif virevoltant, Frédéric Sammaritano se régale à Auxerre, finaliste de la Coupe de France ce soir contre le PSG. Les statistiques ne plaident pas en faveur de l'AJA, mais le Bourguignon jouera le coup à fond, comme en demi-finale contre Guingamp, où il fut l'unique buteur.

Tu penses que Zlatan sait placer Auxerre sur une carte ?

Je ne pense pas qu’il sache situer Auxerre sur la carte bien qu'il soit venu y jouer avec le Milan AC !

Sur Twitter, tu as proposé au chauffeur du bus de garer son véhicule devant les cages de Sirigu. A-t-il accepté ?

Oui, il était d’accord si ça peut nous aider à la gagner !

Cap ou pas cap de tenter un petit pont à David Luiz ?

Cap ! Bon derrière, il va falloir la lâcher vite je pense, si ça passe…

Que préfères-tu : monter en Ligue 2 l’an prochain ou gagner la Coupe de France puis jouer l’Europe ?

On va vivre dans le présent alors je préfère gagner la Coupe de France et jouer l'Europe l'année prochaine. Si on gagne, cela restera comme l'un des plus grands exploits de la Coupe de France.

La réforme de Thiriez avec seulement deux montées, tu en penses quoi ?

Je pense que c'est dommage, cela laisse très peu de places pour les équipes de L2 et cela donne l'impression de vouloir fermer ce championnat de L1… sûrement pour passer rapidement à une L1 à 18 clubs.

8 décembre 2010. Tu affrontes le Real Madrid en Ligue des Champions avec Auxerre. Quels souvenirs gardes-tu de ce match et de votre parcours ?

C’était un souvenir incroyable contre le plus grand club du monde, avec toutes ses stars ! Ce jour-là, nous ne sommes pas passés loin de l'exploit dans une ambiance de folie à l’Abbé-Deschamps.

Tu mesures 1m62. Du coup, tu préfères affronter un grand défenseur costaud un peu lent ou bien un plus petit, mais rapide et malin ?

Plutôt un grand costaud, comme ça je peux jouer sur mes qualités d’explosivité avec mon centre de gravité très bas...

Riolo a dit un jour que tu étais meilleur que Valbuena. Penses-tu être passé à côté d’une plus grande carrière ?

Il s'est un peu enflammé je pense Riolo, mais c'était flatteur pour moi. On n’a pas eu la même trajectoire mais je ne suis pas mécontent de ma carrière. Valbuena, ça reste le très haut niveau.

Tu vis au quotidien avec Pierre Bouby, tu es donc bien placé pour répondre à notre question : il est meilleur sur Twitter ou sur la pelouse ?

Sur Twitter, Bouby c'est un génie adulé par toute la twittosphère. Sur le terrain c’est différent, il a deux pieds droits, c'est con pour un gaucher exclusif ! Mais il a d'autres qualités, il est beau gosse !

DiscoToune brille-t-il aussi sur les tables de Poker ? Riolo aurait dit (à vérifier) que tu étais meilleur que Patrick Bruel…

Le poker c'est ma grande passion. Je ne suis pas meilleur que Pat Bruel mais je touche ma bille on va dire... Demandez à mes adversaires, ils en ont marre que je les rince !

Les pages à suivre

@WinamaxSport

Winamax Sport

La page des paris sportifs

Le plateau TV de la semaine

La semaine sportive en questions et en cotes vous est servie sur un plateau… télé, bien sûr. Avec la finale de la Ligue des champions en ligne de mire.

Vendredi 5 juin

3h, NBA, début des finales, BeIn Sport GOLDEN STATE - CLEVELAND

LeBron James est-il le Raymond Poulidor du basket ?

Vendredi, dans la nuit, LeBron James jouera sa sixième finale de NBA. Il en a déjà perdu trois, soit un ratio peu glorieux pour un basketteur de cette trempe. Alors James, on tremble dans les moments décisifs, tel un collégien qui découvre l’amour ? Ou comme d’autres sportifs souvent seconds, à l’image de Raymond Poulidor, Johan Cruyff et des rugbymen de Clermont ? Le MVP 2012 et 2013 pâtit de la comparaison avec Michael Jordan (six titres en autant de finales), et tentera d’améliorer ses statistiques contre Golden State, favori à @1,35. Sa franchise de Cleveland est @2,80.

20h45, demi-finale du Top 14, Canal+ TOULON - STADE FRANCAIS

Toulon est-il imbattable en karaoké ?

Coupe d’Europe 2014 et 2015. Championnat 2014. Toulon domine le rugby de clubs depuis deux ans et part à nouveau favori @1,22 dans cette demi-finale disputée à Bordeaux. Ils ont les meilleurs joueurs, le meilleur entraîneur, le meilleur public et le meilleur chant de stade. Quel supporteur de rugby n’a jamais chanté le fameux Pilou-Pilou lors d’une troisième mi-temps ? Hein ? Eh bien Max Guazzini, président du Stade Français, partisan de l’école Gloria Gaynor et Dalida. Son équipe, cotée à @4,25 pour la qualification, fera tout pour ne pas mourir sur scène. Tous ensemble : « Il venait d’avoir 18 ans… Il était beau comme Jules Plisson… »

Samedi 6 juin

16h30, demi-finale du Top 14, Canal+ TOULOUSE - CLERMONT

Guy Novès sera-t-il sur le banc ?

Nommé sélectionneur du XV de France, Guy Novès devrait normalement s’assoir sur le banc contre Clermont. Mais vu les mauvais résultats du quinze de France, nous exigeons qu’il prenne dès à présent ses fonctions ! L’intérêt des Bleus doit primer ! En contrepartie, Toulouse récupérerait Philippe Saint-André comme entraîneur. Un mauvais plan ? De toute façon, le Stade est annoncé perdant : sa cote est @2,92, contre @1,38 pour celle des Auvergnats.

20h45, Finale de La Ligue des champions, TF1 et Canal+ FC BARCELONE - JUVENTUS

De quelle planète vient Lionel Messi ?

La NASA s’est penchée sur le cas Lionel Messi depuis son slalom fou contre Bilbao. L’extraterrestre du football est trop fort pour être terrien, et des recherches ont été lancées pour déterminer sa planète d’origine. Puisque sa conduite de balle exceptionnelle lui vient de son centre de gravité bas, l’Argentin serait natif de la galaxie d’Andromaque, où la pesanteur n’existe pas. Trois planètes ont été identifiées : Castonama, régulièrement arrosée de pluies acides, G-26045-HK9000001, bloc de roche grand comme trois fois Dunkerque (intra-muros), et Salexos, uniquement peuplée de dodos. L’élue sera annoncée à la mi-temps de la finale de la Ligue des champions entre le FC Barcelone, coté @1,62, et la Juventus, @5,60.

Dimanche 7 juin

14h10, tennis, France 2 FINALE DE ROLAND-GARROS

À quand un plan Leproux pour Roland-Garros ?

Olas intempestives déclenchées pour un ace. Cris d’encouragement au moment de servir. Emballages de croque-monsieur acheté 26 € oubliés en tribunes d’honneur. Bronca pour Wawrinka à cause d'un passif en Coupe Davis. Le public de Roland-Garros ne respecte plus rien et serait capable de siffler dimanche le futur vainqueur du tournoi masculin (au choix Djokovic @1,75, Nadal @4,50 et Federer @8) ou féminin, la veille (Serena Williams @1,80). À l’image du Parc des Princes, le ménage doit être fait, et pas seulement à cause des emballages plastiques. L’an prochain, les spectateurs seront placés aléatoirement pour éviter les débordements. En cas de récidive, le tournoi se disputera à huis clos, au court municipal de Gueugnon.

20h, Formule 1, Canal+ GRAND PRIX DU CANADA

La Formule 1 est-il le sport le plus chiant ?

Hamilton @1,50, Rosberg @2,15 et Vettel @6,40. Inutile de consulter les autres cotes, ces trois pilotes écrasent totalement le championnat. Six courses, six victoires et une seule place en dehors du podium : la faute de Vettel, quatrième à Bahreïn. Même le curling et la broderie procurent plus d’émotions. L’ennui est tel que les pilotes hors top 5 s’endorment en pleine course, faisant de cette discipline la plus dangereuse de toutes – une raison valable de regarder, du coup.

20h45, match amical, TF1 FRANCE - BELGIQUE

À quoi servent les amicaux d’été ?

Pourquoi programmer un match amical un lendemain de finale de Ligue des champions alors que des joueurs seront absents et d’autres déjà en vacances ? Noël Le Graët a décidé de jouer franc jeu : « C’est une demande des clubs de L1 pour exposer des joueurs moyens qui n’auraient jamais été internationaux à une autre période de l’année. Pourquoi croyez-vous qu’on a fait jouer Étienne Capoue en août 2013 contre ces mêmes Belges ? Pour pouvoir le vendre à Tottenham, pardi. » @2,10 la victoire française au Stade de France et @3,50 celle de leur adversaire, la rencontre présente un autre intérêt : vous faire gagner des billets.

Les pages à suivre

@WinamaxSport

Winamax Sport

La page des paris sportifs

Le plateau TV de la semaine

Les sportives françaises sont à l’honneur cette semaine ! Les couche-tard suivront la Copa America en se demandant si Lionel Messi est vraiment argentin.

Jeudi 25 juin

1h30, Copa America, quart de finale, BeIN Sports 1 CHILI - URUGUAY

Faut-il miser sur le pays hôte ?

Pays hôte du tournoi, le Chili pourrait rejoindre le dernier carré d'une compétition où il avait accroché le podium (troisième) lors de la dernière édition. Dans l'histoire, l'organisateur s'est imposé 21 fois - le dernier en date, la Colombie, l'a fait en 2001. Avec une talentueuse équipe, menée par les excellents Alexis Sanchez (Arsenal) et Arturo Vidal (Juventus), le Chili a passé sans encombre le stade des poules, en battant l'Équateur, la Bolivie et en faisant nul contre le Mexique. Alors, en quart de finale, on a forcément envie de lâcher un billet sur les hôtes de la Copa America, favoris @1,72 contre l'Uruguay.

20h30, Basket-ball, Euro féminin 2015, quart de finale, Sport+ FRANCE - RUSSIE

Quel butin pour les braqueuses ?

Les « Braqueuses » (le surnom de l’équipe de France de basket depuis le titre européen en 2009) se sont fait réprimander par les forces de l’ordre après leur défaite face à la Turquie (56-66) en poule. Les Françaises affrontent en quart la Russie, cotée @2,75, avec plusieurs problèmes à régler, le plus important restant l’inefficacité de la meneuse Céline Dumerc (6,9 points à 37,5 % de réussite) et de l’ailière Diandra Tchatchouang. La victoire des Bleues @1,34 est néanmoins accessible et permettrait d'envisager une nouvelle médaille européenne après l’argent de 2013, le bronze de 2011 et l’or de 2009 !

Vendredi 26 juin

1h30, Copa America, quart de finale, BeIN Sports 1 BOLIVIE - PEROU

Peut-on jouer au foot sous l’eau ?

En 1994, la Bolivie se qualifie pour la Coupe du monde grâce aux matchs de qualification joués à domicile, à 3 630 mètres d'altitude. En 2007, la FIFA pensait définitivement embêter ces pauvres boliviens en fixant par décret cette limite à 2 750 mètres, mais la sélection est désormais capable d’accéder aux quarts de la Copa America sans l’avantage de l’altitude. Que faire pour éliminer la Bolivie, modeste 89ème du classement FIFA, cotée @4,30 contre le Pérou ? Simple : l’obliger par décret à jouer sous l’eau, à – 500 mètres ou plus, arbitré par Paul le poulpe. Il est techniquement possible d’ajouter des crampons à des palmes et d’interdire aux joueurs de retirer leur slip pour célébrer leurs buts. On verra bien si les coéquipiers de Ronald Raldes parviennent à retenir leur respiration durant 90 minutes.

22h, Coupe du Monde féminine, quart de finale, W9 ALLEMAGNE - FRANCE

Pourquoi les Allemands nous en veulent-ils ?

Séville 1982. Maracana 2014. Brême-Monaco (2-0), finale de la Coupe des coupes 1992. Francfort-PSG (2-1), finale de Ligue des champions féminine 2015. Franchement, pourquoi les Allemands sont-ils si méchants avec nous ? Un tour sur FootMercato nous en donne la réponse : « Latéral droit de l’OGC Nice, Grégoire Puel est tout proche de signer à Hambourg et de découvrir ainsi la Bundesliga. » Désolé. Nos Françaises (victoire @3,50) peuvent remettre les pendules à l’heure contre les favorites allemandes, cotées @2,10.

Samedi 27 juin

1h30, Copa America, quart de finale, BeIN Sports 1 ARGENTINE - COLOMBIE

Messi est-il vraiment argentin ?

À 27 ans, le génie de Lionel Messi n'est plus à démontrer : le quadruple Ballon d'or a tout gagné avec Barcelone où il évolue depuis toujours. Mais avec l'Argentine, c'est une toute autre paire de manches : l'attaquant de poche est beaucoup moins incisif et décisif en sélection. Pour son 100e match avec l'Argentine face à une gentillette équipe de Jamaïque, la seule chose que « la Pulga » ait réussi, c'est ce selfie pris en compagnie de son adversaire Deshorn Brown à la fin de la rencontre. Le coeur en Catalogne, les jambes en Catalogne, Messi ne devrait-il pas s'assumer enfin et changer de nationalité ? Au hasard : française. En attendant, c'est bien avec l'Argentine que Leo disputera ce quart de finale de coupe continentale face à la Colombie, tombeur du Brésil durant les poules, pour lequel la victoire de l'Albiceleste @1,9 est bien rémunérée.

23h30, Copa America, quart de finale, BeIN Sports 1 BRESIL - PARAGUAY

[img=img_diamont] La Colombie porte-elle malheur à Neymar ?

Privé de demi-finale de Coupe du monde l'été dernier après avoir été touché au dos lors du quart joué face à la Colombie, Neymar peut également tirer un trait sur les phases finales de la Copa America ! En retombant contre la Colombie durant les poules de la compétition, l'attaquant du FC Barcelone était quelque peu revanchard envers son bourreau estival auquel il n'a pas manqué de réciter l'intégralité du best-seller 50 nuances de noms d'oiseaux. Résultat : un carton rouge et quatre matches du suspension, synonyme de fin de bal. Malheureusement pour le Brésil, sans lui, l'équipe est beaucoup moins adroite devant les buts : même si la Seleção est favorite @1,68, mettre une pièce sur le Paraguay @5,5 est alléchant !

Les pages à suivre

@WinamaxSport

Winamax Sport

La page des paris sportifs

Mercato : l’essentiel (et même le reste)

Tous les transferts de la semaine et les rumeurs à ne pas manquer pour impressionner votre beau-frère sur la plage.

Arda Turan au PSG

Peut-être pas le milieu offensif le plus médiatique du football européen mais sans doute l'un des meilleurs dans la construction du jeu : et si le PSG se décidait à tenter le coup ? Convaincre le Turc semble possible, mais le plus dur sera de se mettre d'accord avec la mère d'Adrien Rabiot, bien décidée à ne pas recruter de potentiels concurrents à son fils.

Fiabilité : 60%

Claudio Beauvue à Lyon

Dès qu'il a appris que Claudio Beauvue hésitait à rejoindre l'OM, Jean-Michel Aulas a pris son téléphone pour recruter l'attaquant guingampais en échange d'un chèque de 5,5 millions d'euros. Le club affirme avoir "bouclé l'essentiel de son mercato", et n'attend plus qu'un défenseur central. Alors ? Nkoulou, Andonian ou Sparagna ?

Fiabilité : 100%

Thomas Lemar à Monaco

Après avoir signé l’attaquant argentin Guido Carrillo, Monaco poursuit le rajeunissement de son effectif avec le transfert du milieu caennais Thomas Lemar. Six titularisations l’an passé. Rien d’inquiétant : après tout, avant de s’engager sur le Rocher, Bernardo Silva jouait dans l’équipe B du Benfica.

Fiabilité : 100%

Taye Taiwo à l'OM

« J’aimerai bien un retour à Marseille », ose le latéral, actuellement sans club après des passages au Milan, à QPR, Kiev et Bursaspor. Qu’y-a-t-il sous ton grand chapeau, Taye Taiwo ? Des missiles sur coup franc et des erreurs de marquage. Tentant.

Fiabilité : 5%

Laurent Koscielny au Real Madrid

Florentino Pérez : "Nous avons obtenu trop de penalties la saison dernière, il faut rééquilibrer." Rien ne va plus au Real Madrid qui envisagerait de reformer la paire Varane-Koscielny, si brillante en équipe de France.

Fiabilité : 20%

Florent Malouda en Inde

La franchise du Delhi Dynamos a proposé un contrat à Florent Malouda qui hésite encore. Les avantages sont pourtant légion : le salaire, le nom du coach de la formation indienne (Roberto Carlos !), le salaire, la ferv… le salaire, le niveau de… enfin surtout le salaire, en résumé.

Fiabilité : 70%

Les pages à suivre

@WinamaxSport

Winamax Sport

La page des paris sportifs

Young Boys Berne - Monaco : l’avant-match en chiffres

Statistiques, cotes, explications : tout ce qu’il faut savoir avant le match aller du troisième tour préliminaire de la Ligue des champions entre Berne et Monaco.

Sonnez hautbois, résonnez musettes : la saison 2015-2016 commence ! Pour ouvrir le bal, un tour préliminaire de Ligue des champions entre les Young Boys de Berne et l'AS Monaco. Battu en quart de finale par la Juventus au printemps dernier, le club de la Principauté est largement favori dans cette double confrontation dont l'aller se dispute en Suisse. Ou vous donne les clés pour bien parier sur ce match.

Monaco confiant

Si le tirage au sort a été plutôt clément pour Monaco, la formation de Jardim ne devra tout de même pas prendre à la légère les petits garçons de Berne qui ont terminé deuxième du dernier championnat helvète. D'autant plus que ces derniers ont repris la compétition officielle, avec déjà deux matches de championnat dans les jambes : deux nuls décevants face à Lucerne et le FC Zurich. À domicile, Berne se montre tout de même solide, restant sur quatre matches sans défaite cet été (dont trois amicaux). La rigueur suisse est bien payée avec une victoire des Young Boys @3,95 et un match nul @3,45.

Avec une dizaine de départs et tout autant d'arrivées, Monaco est en France l'acteur principal du mercato estival. Restant sur une excellente campagne en Ligue des champions qui s'est terminée aux portes des demis, et avec un effectif aussi rafraichi que talentueux, l'ASM a de sérieux arguments à faire valoir sur la scène européenne : le droit à l'erreur est donc interdit pour ce premier match à enjeu de la saison. Malgré un échauffement en demi-teinte (3 victoires, 1 nul et 3 défaites lors des matches de pré-saison), les hommes de Jardim rentrent dans le vif du sujet avec une bonne dose de confiance : « Je ne connais que Guillaume Hoarau... et en plus il est blessé » a confié à propos de ses adversaires le capitaine Toulalan lors de la conférence de presse d'avant-match. Le capitaine de l'AS Monaco doit également connaitre cette statistique : un club suisse n'a jamais vaincu un club français en sept double-confrontations européennes. Monaco est donc favori à l'extérieur et miser sur eux s'avère tentant : un succès des Rouge et Blanc est @2 !

Un match ouvert ?

Lors de leurs dernières sorties, les attaques des deux équipes sont loins d'être restées muettes : Monaco comme Berne ont trouvé neuf fois le chemin des filets lors des quatre derniers matches disputés. On se dirige donc vers un match à buts où les gardiens devraient être très sollicités. La cote est @3,55 pour une rencontre avec plus de 3,5 buts !

Dans la continuité de l'an passé, Monaco fait preuve d'application en défense : l'équipe du Rocher n'a pas encaissé de but lors de ses quatre dernières rencontres officielles. On se souvient que l'an dernier, Subasic n'avait eu à aller chercher le ballon dans ses propres filets qu'à une seule reprise lors de la phase de poules de C1. Miser ce soir sur une cage inviolée des monégasques @2,1 est séduisant.

Les joueurs à suivre

Les recrues offensives monégasques ont le feu au bout des pieds, brillant tour à tour durant la préparation estivale. Notamment le portugais Ivan Cavaleiro, impressionnant balle au pied et surtout auteur de trois des neuf buts inscrits lors des sept matches amicaux disputés par le club en juillet. Pour épauler les nouveaux, Anthony Martial s'est imposé en taulier de l'attaque monégasque, avec lui aussi trois buts inscrits durant les rencontres amicales. À seulement 19 ans, le numéro 23 de l'ASM est en train de complètement changer de dimension ! Comptez @3,2 pour un but de Cavaleiro et @3,1 pour un but de Martial au cours du match !

Du côté du Stade de Suisse, l'attaquant maison s'apelle Guillaume Hoarau. Touché aux adducteurs, l'ancien joueur du Paris Saint-Germain reste sur une excellente saison avec les Young Boys, avec qui il a terminé deuxième meilleur buteur du championnat du haut de ses 17 réalisations. Diminué pour cette rencontre, Hoarau demeure tout de même un poison dans la surface. Son but est @2,5.

Les pages à suivre

@WinamaxSport

Winamax Sport

La page des paris sportifs

Paris - Lyon : l’avant-match en chiffres

Statistiques, cotes, explications : tout ce qu’il faut savoir avant le Trophée des champions entre le PSG et Lyon.

Le Trophée des champions lance la saison nationale avec un alléchant PSG - Lyon à Montréal au programme. Les Rhôdaniens mènent dans les confrontations directes avec 19 victoires, contre 16 pour les Parisiens et 16 nuls, avec un duel qui se rééquilibre nettement sur les dernières années. On vous livre les clés du premier choc de la saison !

Match à enjeux pour trophée en bois

Le Trophée des champions est comme un match entre potes sur FIFA : ce n'est pas si important mais il vaut mieux ne pas le perdre. Parisiens et Lyonnais l'ont bien compris, à l'aube d'une saison qui s'annonce chargée pour les deux clubs. La formation de Laurent Blanc sort d'une préparation concluante, remportant l'International Champions Cup en disposant au passage de Manchester United, la Fiorentina et Benfica notamment. Si Angel Di Maria s'est fait attendre, les hommes de la capitale sont, eux, déjà prêts à l'accueillir. Sur les dix derniers matches face à l'OL toutes compétitions confondues, le PSG n'a perdu qu'à deux reprises. Un succès parisien permettrait au club de remporter son cinquième Trophée des champions en huit participations. La cote est @1,63 !

De leur côté, les Lyonnais boudent, à l'image de Jean-Michel Aulas qui ne fera pas le déplacement pour une histoire de cours de récréation. Après une belle saison 2014/2015, les protégés d'Hubert Fournier se sont renforcés cet été avec l'arrivée de Beauvue et Jérémy M..., enfin Beauvue, c'est déjà pas mal. Mais l'enflammade s'est rapidement consumée après une série de matches amicaux catastrophiques : 4 défaites en 5 matches avec une fessée infligée par Arsenal sur le score de 6-0. Sans Grenier, Jallet et Fekir, la cote de l'OL à @5,85 est forcément élevée mais un sursaut d'orgueil n'est pas à exclure ! Surtout quand on sait que le club a remporté le trophée à sept reprises sur huit participations !

Un duel serré

Si Lyon avait le dessus dans ses années phares, le duel s'est rééquilibré depuis l'arrivée des Qataris. Paris fait la cigale en sortant les millions alors que la fourmi lyonnaise économise en attendant les recettes du nouveau stade. Sur les quatre dernières confrontations, on compte deux matches nuls sur le score de 1-1 et une victoire de chaque côté sur un but d'écart. Le PSG part favori au vu de son effectif et la victoire des hommes de Laurent Blanc par exactement un but d'écart est @3,10 ! De quoi vibrer un peu plus !

Ce qui est certain, c'est que les filets tremblent dans ces confrontations ! Sur les dix derniers duels toutes compétitions confondues, on compte une moyenne de 2,8 buts par match. Avec des défenses pas encore au point, on devrait voir de l'action dans la surface de réparation. Les deux équipes se sont affrontées deux fois dans cette compétition pour deux victoires lyonnaises aux tirs au but. Jamais deux sans trois ? La cote d'un match nul avec plus de 2,5 buts dans la rencontre est @17 ! Pas mal pour décrocher le jackpot ! Si vous préférez assurer le coup, le nul simple est @3,75, intéressant quand on sait que le Trophée des champions a vécu 7 séances de tirs au but sur 19 éditions !

Les joueurs à suivre

1. Zlatan Ibrahimovic

Le géant suédois est encore là, malgré son faux coup de pression de l'été avec un départ annoncé au Milan AC. Le "Z" honorera bien sa dernière année de contrat dans la capitale, une ville où il se sent bien. Malgré une saison 2014/2015 moins prolifique (19 buts en Ligue 1), Ibrahimovic semble mieux mentalement et physiquement, avec une International Champions Cup de qualité. Auteur du but égalisateur face à l'OL lors du dernier duel et d'un doublé en 2013, sa cote est @1,88 !

2. Alexandre Lacazette

C'est l'un des feuilletons du mercato lyonnais et il n'est toujours pas terminé. Le meilleur joueur de la saison 2014/2015 n'a pas encore prolongé son contrat à l'OL malgré une proposition claire du club. Transparent lors des matches amicaux, à l'image de ses coéquipiers, Alexandre Lacazette a la pression avant le premier vrai rendez-vous de la saison. Mais l'animal ne fait que dormir... Auteur de 27 buts en Ligue 1 lors de la dernière édition, sa cote @3,15 reste très intéressante !

Les pages à suivre

@WinamaxSport

Winamax Sport

La page des paris sportifs

Top 5 des embrouilles d’entraîneurs

Pétages de plomb ou départs précipités… Top five des plus belles embrouilles de coaches dans le monde du ballon rond !

Marcelo Bielsa est loin d'être le seul à avoir quitté son poste de manière surprenante. Il est même l'un des plus "soft" quand on consulte notre Top five des embrouilles d'entraîneurs de football !

1. Le coup de folie de Delio Rossi

Delio Rossi est entré dans l'histoire à sa façon. Le fantasque entraîneur italien a dirigé une quinzaine de clubs dans sa carrière, ne restant à chaque fois que peu de temps à son poste. Une sorte de Gravelaine du banc. En 2012, alors à la tête de la Fiorentina, il décide de sortir les gants en plein match. Non pas contre l'arbitre ou contre des adversaires, mais contre son propre joueur ! La raison ? De simples applaudissements ironiques d'Adem Ljajic, remplacé à la 32e minute d'un match de la 36e journée de Serie A. Rossi pète un câble et se dirige vers son protégé qu'il boxe sur son banc. Le Mayweather italien est licencié dans la foulée et suspendu de toutes fonctions officielles pendant trois mois !

2. Helena Costa, la fausse venue

Elle aurait pu devenir la première femme à entraîner une équipe professionnelle française masculine ! Helena Costa a finalement quitté le navire avant même qu'il ne sorte du port. À l'aube de la saison 2014/15, Clermont balance une bombe en annonçant l'arrivée de l'entraîneure portugaise. Le conte de fée ne va finalement pas durer longtemps puisque Costa décide de quitter son poste quelques semaines plus tard, justifiant son départ par des incompréhensions avec sa direction. Le président du club Claude Michy aura le temps de lâcher un "C'est une femme..." avec des insinuations sexistes, avant de recruter... Corinne Diacre.

3. Le mail de Claude Puel

Sur le papier, le duo Claude Puel / Jean-Michel Aulas était loin d'inspirer la joie et l'amour. On ne s'imagine pas du tout passer une soirée de folie avec les deux. Malheureusement pour l'OL et son ancien coach, les mauvais pressentiments se sont vérifiés. Lorsque l'entraîneur signe à Lyon en provenance de Lille à l'été 2008, Aulas est persuadé qu'il a trouvé l'homme qu'il lui faut pour passer un palier en Europe. Malheureusement, rien ne se déroule comme prévu et les relations se tendent malgré une demi-finale de Ligue des champions. Il est licencié en 2011 et conteste la décision en justice qui donne raison à l'Olympique Lyonnais. Claude Puel a en effet manqué à ses obligations en ne répondant pas à... un mail. Bien vu Jean-Michel !

4. Luis Fernandez et l'énarque

Comme un combat à plusieurs rounds dans l'arène du Parc des Princes, Luis Fernandez et Laurent Perpère ont animé la saison de Ligue 1 2002/2003. La raison du conflit ? La mise à l'écart du groupe de Ronaldinho après une faute professionnelle (il fait monter une fille dans sa chambre alors que le club est en mise au vert). Mais le président Perpère ne comprend pas la décision et souhaite que le joueur continue d'évoluer sur les pelouses du championnat. Quelques jours avant un PSG/OL, Fernandez lâche un ultimatum : "Ce sont les supporters qui décideront de mon avenir. S'ils veulent que Luis parte, je le ferai." Il sait néanmoins qu'il a déjà gagné la bataille face à son dirigeant. Le jour de la rencontre, une banderole "Décapitons l'énarque" est de sortie, faisant de Luis Fernandez le grand gagnant de la bataille !

5. Gourcuff et le vouvoiement de Féry

Après onze années passées à Lorient, Christian Gourcuff espérait certainement une fin moins brutale. Jonglant avec des budgets limités, le coach breton a chaque année perdu des éléments clés jusqu'à se retrouver en caleçon à la fin de son contrat. Les relations sont de plus en plus compliquées avec Loïc Féry surtout après le départ de Mario Lemina à l'Olympique de Marseille dans les dernières heures du mercato 2013. Devant les caméras de Canal Plus, l'épisode devient comique puisque Gourcuff se met à vouvoyer son président comme s'il ne le connaissait plus. Loïc Féry s'étonne de ce comportement mais c'est trop tard, son coach est déjà bien loin.

Les pages à suivre

@WinamaxSport

Winamax Sport

La page des paris sportifs

Montpellier - Paris : l’avant-match en chiffres

Statistiques, cotes, explications : tout ce qu’il faut savoir avant l’affiche de vendredi soir entre Montpellier et le PSG.

Entre un Montpellier relégable (deux défaites) et un PSG déjà séduisant (leader avec deux succès, autant que les ogres rémois et caennais), l’opposition paraît déséquilibrée. Sauf que les statistiques réduisent la marge entre ces équipes, surtout quand Montpellier reçoit ! Voici les clés pour miser juste sur cette affiche du dimanche.

Paris parfois fébrile à l’extérieur


Zlatan Ibrahimovic a participé à l’entraînement collectif mais il ne sera pas titulaire, tout comme Angel Di Maria, en phase de reprise. De retour de suspension, Rabiot est en balance avec Motta pour une place de sentinelle… L’Italien a l’avantage, sauf si la mère du Français vient mettre la pression sur Laurent Blanc. L’entraîneur parisien connait l’importance de cette rencontre avant un nouveau déplacement la semaine prochaine, à Monaco. À l’extérieur, le PSG a souvent lâché des points la saison dernière, s’inclinant par exemple à Guingamp ou à Bastia. La victoire parisienne est @1,5.

Depuis 2011, à domicile, Montpellier a obtenu une victoire, deux nuls et trois défaites toutes compétitions confondues face au PSG. Le bilan devient plus flatteur si l’on pousse jusqu’en 2002 : trois victoires, cinq nuls et deux défaites. Sauf que Montpellier reste sur quatre revers consécutifs en L1. On ne va pas se mentir : le club de coach Courbis n’a pas les faveurs des pronostics, et il faudrait un exploit pour le voir s’imposer (@8,55). Plus envisageable, le match nul est @4,1.

Défense d’entrer

Touché à la hanche, Marco Verratti (156 ballons touchés et 92% de passes réussies contre Ajaccio !) sera absent. Sans le génial transalpin, les attaquants ont moins de bons ballons à exploiter et peuvent souffrir face au milieu renforcé de l’adversaire. Depuis trois ans, Paris n’a jamais marqué plus d’un but à Montpellier, obtenant deux fois un nul 1-1. La cote de ce score est @7,8.


Pas encore remis du départ de Barrios, l’attaque héraultaise n’a pas marqué cette saison. Courbis va relancer Bakar en pointe, au détriment de Bérigaud, probable remplaçant. L’entraîneur chantera-t-il « Pas Bakar, oh, pas Bakar » à la fin du match ? Sa priorité sera de ne pas prendre de but, une ligne directrice chez lui : la saison dernière, Montpellier avait terminé cinquième meilleure défense du championnat… à seulement trois buts de Paris. Miser sur une rencontre avec moins de deux buts marqués vous rapportera 2,75 fois votre mise.

Les joueurs à suivre

1. Djamel Bakar


« Ce match peut lancer notre saison. On n’aura rien à perdre », estime Djamel Bakar. L’attaquant franco-comorien marque peu (quinze buts en L1 dans sa carrière) mais il a une excuse : il rentre toujours en jeu. Bakar n’a débuté qu’une rencontre l’an passé en championnat pour un total de quinze apparitions ! Il peut enfin gagner la confiance de son coach en marquant un but coté @7,50.

2. Javier Pastore


L’an passé, Javier Pastore a inscrit 60 % de ses buts à l’extérieur, et plus de la moitié depuis qu’il joue au PSG. Une anomalie que l’Argentin entend bien poursuivre à la Mosson, en ouvrant par exemple le score (cote @8). Pour plus de sécurité, vous pouvez seulement le voir buteur @3,50.

Présentation de la grille 12 n°7

En individuel ou en équipe, tentez votre chance et décrochez le jackpot en remplissant la grille numéro 7 !

Une nouvelle grille à 12 matches vous tend les bras. Au menu ce week-end : des derbys animés, une rencontre entre promus, une affiche historique et des matches étrangers pour saupoudrer le tout. On vous détaille les affiches et les bons coups à jouer dans cette grille où 50 000 euros sont garantis.

Les affiches

Leader inattendu des premières journées, l'ancien pensionnaire de Ligue 2 Angers reçoit un autre promu, Troyes, qui n'a toujours pas gagné la moindre rencontre cette saison. Même problématique du côté du Gazélec qui se déplace chez un Guingamp revigoré après un début de championnat poussif. Les irréductibles bretons ont enchainé deux victoires consécutives, dont une de prestige face à Marseille. Après avoir sombré à domicile face à Rennes, les Canaris de Nantes essayeront de se remplumer du côté de Saint-Étienne, un adversaire historique. Mais attention à ne pas prendre le bouillon dans le bouillant chaudron des Verts, qui restent sur 4 victoires et 3 nuls en 7 matches, toutes compétitions confondues.

Également sur une bonne dynamique, le Marseille de Michel, et ses 7 buts inscrits pour 1 seul encaissé sur les deux dernières rencontres, est attendu au tournant dimanche pour le choc des olympiques, contre un Lyon en plein doute depuis la grave blessure au genou droit de l'indispensable Fékir.

Chez nos voisins italiens, la Lazio se déplace à Naples. qui malgré une large victoire (5-0) en Ligue Europa ce jeudi face Bruges, a du mal à trouver la bonne formule en Serie A : le nouveau coach Maurizio Sarri doit composer avec des défenseurs pour la plupart arrivés durant le mercato estival, et peine à engranger des points en ce début de saison (2 points pris en 3 matches).

Outre-Manche, on suivra de près Manchester United, actuel troisième derrière City et Leicester. Le nouveau club de l'homme qui valait 80 millions d'euros - Anthony Martial - peut glaner un quatrième succès en 6 journées face à Southampton, une équipe qui souffle le chaud et le froid à domicile (défaite 3 à 0 contre Everton, puis victoire 3 à 0 contre Norwich).

Les coups à tenter

Bordeaux - Toulouse

Honneur au Sud-Ouest ce week-end avec le traditionnel derby de la Garonne entre Bordeaux et Toulouse. Si au classement, les Girondins devancent leur adversaire d'une petite longueur, ils pourraient bien être émoussés par le gros match livré en Ligue Europa face à Liverpool (1-1). Uniquement engagé (comme chaque année) dans le championnat, le Téfécé sera donc sans doute plus en jambes que leurs voisins bordelais. D'autant plus que l'historique récent plaide en faveur des Toulousains qui ont remporté 5 des 10 derniers derbys disputés en Ligue 1... pour 2 matches nuls.

Bastia - Nice

Autre derby venant égayer cette sixième journée de Ligue 1 : celui de la Méditerranée. Bastia accueille Nice pour un match sous haute tension ! Cinq cartons rouges ont été distribués lors des quatre dernières confrontations entre les deux clubs. Revanchards de leur dernier déplacement en Corse, où deux de leurs joueurs avaient été expulsés, les Aiglons auront le couteau entre les dents samedi soir au moment de fouler la pelouse d'Armand-Cesari. Pourquoi ne pas cocher Nice qui demeure pour le moment invincible en déplacement cette saison ?

Grille n°7 : les gagnants

Il fallait cocher les clubs de l'Ouest ce week-end pour espérer faire un sans-faute ! À domicile, Angers, Guingamp ou encore Caen, ont tous gagné. Mais le plus dur à deviner était sans nul doute ce succès de Lorient qui est allé créer la surprise en s'imposant à Monaco. Une formalité pour la communauté French No Limit qui a encore une fois eu le nez creux en validant, par l'intermédiaire de "cedric_Dub86", deux grilles en équipe à douze résultats gagnants !

Avec une grille à 288 €, et une autre au même coût, les stakhanovistes des grilles Winamax ont touché la bagatelle de 13 503,15 € ! Les « FNL » peuvent remercier Andy Delort qui a permis aux caennais d'arracher la victoire contre Montpellier dans les arrêts de jeu. Un but qui vaut de l'or car un nul faisait perdre nos inspirés parieurs, d'un côté comme de l'autre. "Mufasa44" peut également s'estimer heureux, car dans sa grille collective à 216 € ayant rapporté 6 686,64 €, où 18 autres parieurs ont croqué, Caen était également coché en base !

Merci qui ? Merci Rekik

Deux parieurs l'ont joué en solo avec brio : "Vinycaponne" et "bluestf". Ce dernier n'a déboursé que 8 euros pour s'offrir les douze bons résultats et un joli complément de salaire de l'ordre de 4 586,43 € ! Ils peuvent tous deux tirer un grand coup de chapeau à Rekik qui leur a enlevé une sacrée épine du pied en égalisant avec l'OM face à Lyon au cours d'un match à rebondissements. "Vinycaponne" avait seulement coché le nul dans cet Olympico tandis que "bluestf" s'était lui légèrement couvert en pariant sur une victoire ou un nul des Marseillais.

Un coup d'épée dans l'eau

Dans la série "vie de merde", le malheureux "tiago74" peut nourrir des regrets : sa grille en équipe à 243€ parfaitement calibrée a débouché sur douze bons résultats, mais faute de financement, celle-ci n'a pu être validée... Si vous voulez participer lors de la prochaine grille, nous vous remboursons jusqu'à 5 € pour une première mise sur un grille en équipe. Ça vaut le coup, non ?

Préparez la Grille n°8

La Grille n°8 est d'ores et déjà en ligne ! Vous avez jusqu'au samedi 26 septembre 20 heures pour étudier les matches et la valider. 50 000 € sont une nouvelle fois garantis. À vous de jouer !

Interview du parieur La.Leffe (French No Limit)

Depuis l'arrivée des grilles sur Winamax, on ne parle plus que d'eux : la French No Limit. Cette communauté de joueurs éparpillés aux quatre coins de l'Hexagone rafle semaine après semaine les jackpots en trouvant quasi systématiquement les douze bons résultats des matches du week-end. L'un des cerveaux de la bande, Stéphane alias "La.Leffe", a accepté de nous livrer une partie des secrets de leur réussite. Alors de notre côté, on écoute et forcément, on prend des notes.

La FNL, une communauté soudée qui se régale grâce aux grilles Winamax

Comment vous est venue cette idée de prendre part en équipe aux grilles Winamax ?

La French No Limit est à la base une communauté de poker. On jouait déjà sur Top Prono à l'époque, chacun de notre côté. Quand les grilles sont sorties, on a vu qu'on pouvait parier en équipe. On s'est alors dit « ça, c'est pour nous ! » On a donc naturellement crée un groupe Facebook pour se lancer dans cette nouvelle aventure qui permet de faire participer tout le monde. Car des grilles à 200 ou 300 euros, on ne peut pas forcément se les payer tout seul ! Nous sommes aujourd'hui plus de 140 à jouer régulièrement.

On ne voit que la partie émergée de l'iceberg, c'est à dire les grilles gagnantes ayant douze bonnes issues, mais combien de grilles validez-vous chaque week-end pour obtenir ces résultats ?

De mon côté, je mets en moyenne un petit billet sur 12 à 18 grilles. Pour que ce soit rentable, je pense qu'il ne faut pas investir plus de 10% de la valeur totale de la grille et ne pas s'engager dans des grilles à plus de 288 euros.

Vous êtes plusieurs à décider ? Comment faites-vous lorsque vous n'êtes pas d'accord sur un match à mettre en base ?

On coche au hasard, on tire au sort 1,N ou 2 et... Non, je plaisante (rires). Au début, on était trois ou quatre à faire nos grilles dans notre coin. On les mettait ensuite en commun pour voir sur quoi on était d'accord ou non. Sur les cases où il y avait un désaccord, on s'est mis à faire des doubles, puis des triples... Aujourd'hui, dans notre groupe, on peut compter sur la diversité des membres : il y a un Italien, un Portugais : à chacun sa spécialité ! Au départ, on fait la grille en fonction des favoris. Puis on essaye de déceler les éventuelles surprises où l'on peut mettre une croix. Le dimanche, on met un triple en général, car c'est le dernier match. On en discute ensuite sur Team Speak, un logiciel de communication vocale, puis on poste la grille sur notre forum et sur la page Facebook, et enfin on la valide si la majorité y adhère.

Votre groupe de parieurs devient forcément de plus en plus populaire. Et beaucoup de joueurs veulent investir dans vos grilles. Comment gérez-vous cette forte demande ?

Ce n'est pas forcément simple effectivement. Paradoxalement, on n'a pas encore vu de gros joueurs de paris sportifs mettre beaucoup d'argent sur nos grilles, ils n'investissent pas énormément. Au niveau des groupes, c'est difficilement gérable par rapport aux nombres de grilles publiées. Pas mal de nouveaux proposent leurs propres grilles, ce qui nous laisse peu de temps pour les analyser. On préfère favoriser les grilles publiées par les membres de notre forum, ce qui parait plus légitime. Après, si des grilles faites par des gens extérieurs à la FNL nous plaisent, on peut miser dessus, cela ne pose aucun problème !

Tu as gagné combien jusqu'à maintenant grâce aux grilles Winamax ?

Environ 3 000€ !

Un conseil à nos parieurs en herbe pour finir ?

Comme au poker : avoir une bonne gestion de bankroll et ne pas engager des sommes trop importantes ! Et surtout, ne pas faire de martingale sur les matches de Tsonga !

On regarde la grille de ce week-end ? Donne-nous tes pronos !

PSG - OM : l’avant-match en chiffres

C'est l'affiche préférée des médias et d'une grande partie des amoureux du ballon rond : PSG - Marseille vient clôturer cette neuvième journée du championnat de France. Toujours aussi attendu, et ce peu importe le classement des deux équipes, ce Classico donne souvent lieu a des matches animés sur le terrain comme en dehors. Si les Parisiens sont ultra favoris cette année, le bilan est cependant équilibré dans l'histoire du choc : 35 victoires pour Paris, 33 pour Marseille, et 18 nuls, toutes compétitions confondues. Alors, quels paris tenter ? On vous donne quelques pistes !

Le Grand Huit pour Paris ?

La dernière fois que Paris a infligé 8 défaites consécutives à Marseille, c'était entre 2002 et 2004, une époque où Ronaldinho dansait la Samba au Vélodrome. Le PSG peut refaire le coup en s'imposant dimanche. Avec 7 victoires lors des 7 derniers affrontements, 15 buts marqués pour seulement 3 encaissés, les joueurs de la capitale sont forcément favoris @1,38. Vous croyez à la loi des séries ? Les 5 derniers PSG - OM au Parc des Princes se sont soldés par le même score : 2 à 0 ! La cote de ce résultat est @6.

Après avoir perdu à domicile contre Angers (1-2) en championnat, puis face au Slovan Liberec en Ligue Europa (0-1), et ce malgré une nette domination (33 tirs dont 11 cadrés !), les Marseillais n'ont plus grand-chose à perdre dans ce Classico où tout le monde s'attend à les voir souffrir. Michel se déplace donc à Paris avec l'espoir de réaliser le hold-up de l'année. Le coach de l'OM a des velléités offensives pour ce match de gala et espère que ses joueurs sauront cette fois se montrer réalistes devant le but. Un exploit marseillais est @11 !

Buts à gogo

Alors que 29% des matches de Ligue 1 se terminent par un score de parité, les confrontations entre le PSG et l'OM ne se concluent que par 10% de nuls ! Si le double chance PSG ou Marseille @1,15 est une base solide de MortalCombo, jetez donc un coup d'oeil sur le nombre de buts marqués dans les derniers Classico : sur les 9 dernières saisons, les affrontements entre Parisiens et Marseillais ont débouché sur 3,06 buts de moyenne. La cote d'une rencontre avec plus de 2,5 buts est @1,64. Comptez également @2,15 pour plus de 1,5 buts en première temps !

Les hommes à suivre

1. Blaise Matuidi

Pourquoi parier sur un attaquant quand un milieu peut vous permettre de multiplier votre mise par 4,5 ? Avec déjà 4 buts au compteur cette saison (sélections en équipe de France comprises), Matuidi a autant marqué que les attaquants nantais et lillois. Et nul doute que les Marseillais n'ont pas oublié son enroulé du pied droit au Vélodrome l'an dernier...

2. Lucas Ocampos

À match spectaculaire, joueur spectaculaire. Ocampos, l'attaquant capable de passer la moitié d'un match la tête en bas, est paradoxalement à même de claquer un superbe ciseau faisant trembler les filets. Et donc de permettre à votre argent de faire des petits. Cote @6,5 pour un but de l'Argentin !

Top 5 des exploits français contre les All Blacks

Huit ans après l'exploit de Cardiff, la France a rendez-vous avec les Blacks pour écrire une nouvelle page de l'histoire. Reste à savoir si elle sera belle ou ensanglantée. Même si les Néo-Zélandais ont collé quelques raclées à nos Bleus, ils bégayent souvent dans les moments clés face à un XV de France imprévisible. Alors pour rêver avant une éventuelle fessée, on vous a préparé un Top Five des exploits français face aux Blacks !

1. 1999 : Jonah Lomu à terre

Le 31 octobre 1999, le XV de France est dans le dernier carré de la Coupe du monde et l'aventure doit logiquement se terminer à ce stade. En face, les Blacks se baladent dans la compétition face à des Bleus sans certitudes. On s'attend donc à une boucherie et Jonah Lomu tient la boutique en inscrivant le premier essai de la partie, se débarrassant au passage de huit Français. À la pause, les Néo-Zélandais mènent 24-10 et peuvent se faire un petit café dans le vestiaire. Mais c'est bien Lamaison qui réveille les Bleus au retour sur la pelouse avec deux drops et deux pénalités marqués. Les minutes qui suivent se joueront sur Pluton. Galthié et Bernat-Salles inscrivent chacun un essai et les Blacks sombrent définitivement. Une demi-heure inoubliable qui donnerait presque envie de prendre une licence au rugby. Presque. Les Bleus s'imposent 43-31 et s'inclineront en finale contre l'Australie.

2. 2007 : les yeux dans les yeux

Baisse les yeux je te dis ! Baisse les yeux ! En quarts de finale de la Coupe du monde 2007, nos Bleus se retrouvent face aux All-Blacks qui n'ont jamais chuté à ce stade de la compétition. Alors pour ne pas sortir complètement ridicule de l'affontement, le XV de France de Chabal défie le haka néo-zélandais. Les joueurs se retrouvent presque nez à nez lors de l'avant-match, dans un Millennium Stadium de Cardiff bouche bée devant ce spectacle. Les protégés de Bernard Laporte ne baisseront plus les yeux et s'imposent 20-18 malgré un 13-0 encaissé en première période. Un exploit réalisé à l'étranger lors de la Coupe du monde en France, ne cherchez pas à comprendre...

3. 2011 : à un point d'écart

Pourquoi mettre une défaite dans ce Top Five ? Tout simplement parce que les Bleus sont passés très proches de leur plus grand exploit. Opposé à la Nouvelle-Zélande en finale de la Coupe du monde 2011, le XV de France est à deux doigts du hold-up en territoire ennemi. Quatre ans après la performance de Cardiff, les Bleus de Marc Lièvremont auraient donc pu taper plus fort en raflant le titre chez les Blacks. Il s'en est fallu de deux points et les supporters néo-zélandais rentraient chez eux en baissant la tête. Et puis, quelle meilleure définition de la lose à la française que de toujours sortir des compétitions avec des regrets ?

4. 2006 : un drop et puis s'en va

Quelques mois après la défaite des Bleus en finale de la Coupe du monde de football, le rugby nous donne rendez-vous pour nous remonter le moral. Et on peut compter sur le XV de France qui nous fera rire le temps d'une rencontre face aux Blacks. L'exploit de ce 11 novembre 2006 à Lyon sera de n'inscrire que trois points face à la Nouvelle-Zélande qui en plantera... 47. Une véritable raclée avec un seul drop marqué par Florian Fritz. Un test match face aux Blacks qui se termine avec l'un des plus gros écarts entre les deux équipes. Ils enchaîneront ensuite sur trois victoires supplémentaires lors des test suivants avant de chuter en quarts de finale de Coupe du monde 2007. Oui, nous choisissons nos matches.

5. 1979 : jour de gloire

C'est certainement l'une des plus belles victoires des Bleus face aux Blacks, tout simplement parce qu'elle débloque le compteur. Le tout premier affrontement entre les deux équipes a lieu en 1906 et il faudra patienter 73 ans pour voir enfin une victoire du XV de France face à la Nouvelle-Zélande. Comme quoi, il ne faut jamais désespérer, même lorsque l'on supporte le Stade Rennais. La symbolique est forte ce jour puisque le match a lieu le 14 juillet à Auckland. Héroïques, les Français décrochent une victoire sur le score de 24-19 malgré une fin de match où les All Blacks sont à deux doigts de revenir dans la partie. Allons enfants...