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EPT Barcelone 2016 par PokerStars.es - Main Event - 5

Le Day 5 a débuté

Jean-Jacques Zeitoun a disputé son premier coup de la journée contre son voisin de gauche, Mikhail Molchanov. Le Français ouvre à 85,000 au cut-off et le Russe est le seul à payer.

Le flop tombe 339 et Jean-Jacques c-bet pour 130,000. Molchanov marque un temps de pause avant d’engager la somme.

Le turn est un 10. Jean-Jacques réfléchit, zieute le stack de son adversaire (1,1 million environ), puis décide de checker. Il ne paiera pas la mise de 180,000 envoyée par son adversaire.

Les organisateurs ont annoncé que l’on jouera aujourd’hui jusqu’à tomber à six joueurs. On aura donc l’occasion d’observer un bout de finale puisque celle-ci débute à huit joueurs (voire même neuf, puisque la dernière table débute après l’élimination de la dixième position).

La France, première nation de l’EPT Barcelone

Profitons du ralentissement du rythme en ce début de Day 5 (une seule élimination en une heure : la nuit va être longue) pour revenir sur la participation par pays sur le Main Event : avec 169 représentants, la France arrive en tête du classement des nations (10% du field), suivie par l'Angelerre (136 joueurs et 8%), l'Allemagne (117 joueurs, 7%) et l'Italie, la Russie, l'Espagne et les Etats-Unis (90 joueurs et 5% chacun)

Cette participation se reflète t-elle dans les performances à table ? 24 Français se sont classés au sein des 359 places payées, soit une proportion de 6,7%. Un peu en dessous de ce qui était attendu, donc. Et à 24 joueurs restants, on retrouve :

-1 seul Français
-3 Allemands
-1 Anglais
-1 Italien
-2 Russes
-1 Espagnol

ca se saurait si les français étaient bon au poker en même temps…

4 sortants en 100 minutes

Bilan du premier niveau du Day 5 : 4 éliminations, dont deux sur la toute dernière main du niveau.

On a d’abord dit « allez saluuuuuut » au November Nine Vojtech Ruzicka (photo). Le Tchèque a floppé une paire plus un tirage par les deux bouts avec 8-6 sur 5-6-7, mais s’est heurté à une main déjà faite : 4-3. Ruzicka fut suivi vers la sortie par Stefan Vogt (23e pour 41,220 euros, soit plus de la moitié de ses gains de carrière depuis 2008 : le mec réalise donc la plus grosse perf’ de sa carrière, financièrement parlant, et je préfère vous prévenir, je vais souvent répeter cette expression aujourd’hui)

Une heure plus tard, le Suédois Simon Lofberg (photo) s'est cassé en 22ème place après avoir perdu un flip (il s'agissait du septième ITM de sa carrière), il était accompagné sur son chemin vers le bureau des paiements par Paval Veksler, un joueur Russe en plein rush cette année avec une cinquième place sur le 10K organisé ici-même il y a une semaine, et une seconde place sur un 5K de l'EPT Monte Carlo.

On a failli assister à une dernière élimination alors que la pause était déjà commencée. La main débute avec une relance de Zorlu Er. C’est payé par son voisin Adam Owen. Jean-Jacques Zeitoun défend sa grosse blinde et le flop tombe K6Q. Jean-Jacques check, Zorlu c-bet pour 220,000 et se fait check/raise par Owen, à hauteur de 675,000. Jean-Jacques abandonne et part en pause, mais pas Zorlu qui complète. Owen ne rigole pas : le Turc se voit mettre à tapis sur le turn (un 9), et est obligé d’abandonner après un long moment de réflexion (six minutes, j’ai compté).

Alors que les blindes vont passer à 30,000/60,000, ante 10,000, Jean-Jacques Zeitoun pointe à 1,6 million. Le tapis moyen est de 2,67 million.

Les deux dernières tables sont prêtes

Il reste 16 joueurs Jean-Jacques Zeitoun est en difficulté

Les deux dernières heures ont vu quatre joueurs éliminés en succession, nous emmenant à rythme rapide vers les deux dernières tables de l'épreuve.

20e : Anthony Chimkovitch (Belgique) 49 170€

Plutôt short-stack en début de journée, le jeune Belge a plus que triplé ses gains de carrière pour son troisième ITM.

19e : Olli Autiö (Finlande) 49,170€

As-Dame contre deux As : celui dont le palmarès était encore vierge jusqu'à cette semaine ne pouvait vraiment rien faire.

18e : Michael Addamo (Australie) 49 170€

Deux mois après avoir disputé à Las Vegassa première finale sur le circuit WSOP, le sosie officiel de Chris Moorman s'incline à quelques encablures de la finale.

17e : Nuno Capucho (Portugal) 57 120€

Le dernier Portugais en course a sauté d’une des manières les plus horribles qui soient, perdant un coup à tapis préflop avec A3 contre A3.

Les positions

Source : PokerNews.com

Comme vous pouvez le constater, la journée de Jean-Jacques Zeitoun ne se passe pas très bien : le Français n'a pas réussi à remporter un seul showdown aujourd'hui, malgré plusieurs flops vus. Son tapis n'a suivi qu'un seul chemin jusqu'à présent : vers le bas.

Table TV
1/ Adam Owen (UK) 6 105 000
2/ Mikhail Molchanov (Russie) 2 355 000
3/ Pavel Plesuv (Moldavie) 3 360 000
4/ Uri Reichenstein (Allemagne) 6 450 000
5/ Morten Mortensen (Danemark) 4,055,000
6/ Jean-Jacques Zeitoun (France) 605 000
7/ Andreas Chalkiadakis (Grèce) 4 730 000
8/ Sebastian Malec (Pologne) 7 650 000

Table non-TV
1/ Alisan Holozlu (Allemagne) 2 420 000
2/ Thomas De Rooij (Pays-Bas) 2 520 000
3/ Alexandru Baron (Canada) 3 700 000
4/ Harcharan Dogra Dogra (Espagne) 1 540 000
5/ Andrea Cortellazzi (Italie) 2 340 000
6/ Zorlu Er (Turquie) 3 560 000
7/ Konstantin Puchkov (Russie) 1 350 000
8/ Stephen Malone (Irlande) 845 000

Blindes 40 000/80 000 ante 10 000
Prix assuré : 57 120€

Zeitoun pour aujourd’hui

Jean-Jacques Zeitoun n'aura goûté que très peu de temps aux joies de la table télévisée : arrivé sur le podium avec moins de dix blindes, le Français a très vite trouvé les cartes qu'il fallait pour tenter le tout pour le tout : AK. Problème : le chip-leader Sebastian Malec avait relancé UTG avec une bombe : KK.
Jean-Jacques garde espoir grâce à un flop J85, mais le turn et la rivière sont des briques : son élimination est scellée en 16ème place, pour un prix de 57,120 euros, son plus gros gain en tournoi et son 68ème ITM en live au total. Son retour sur investissement est d'autant plus grand que Jean-Jacques a remporté son ticket pour le Main Event via un satellite live organisé durant les jours qui ont précédé le coup d'envoi.

Et c’est ainsi que le contingent Français (169 représentants au total !) tire son ultime révérence dans ce Main Event…

Merci Michel !

19h24 à Barcelone : tandis que les joueurs du High-Roller sont en pause, et que le Main Event est tombé à onze joueurs, nous nous eclipsons une heure (ou deux) pour notre pélerinage annuel à Pepita, le resto Barcelonais préféré de Michel Abécassis. Un rituel immuable !

Ils manquent la finale de peu

Deux heures et demie du matin à Barcelone. Les gros tournois sont terminés pour la soirée. D'autres épreuves annexes vont se poursuivre jusque très tard. Dans le Main Event, ils ne sont plus que sept : déjà au lit, ou en train de célebrer leur place en finale du plus gros tournoi EPT de l'histoire. Je sais, je sais : j'avais annoncé que le Day 5 se poursuivrait jusqu'à l'obtention du casting des six derniers joueurs. L'objectif s'est révélé un poil trop ambitieux : plus de trois heures trente de jeu en 7-handed ont été observées sur le podium télévisée sans qu'une élimination ne se produise.

Avant de vous présenter les sept joueurs pouvant encore prétendre au titre et au premier prix de 1,12 million d'euros, attardons nous une minute sur ceux qui ne sont pas passés loin de l'exploit, et qu'on ne reverra pas dimanche sur le podium télévisé.

15e : Alisan Holozlu (Allemagne) 69 170€
Son deuxième ITM vient après une 42ème place sur l'étape Eureka Poker Tour de Rizvadov. Probablement qu'on le reverra sur le circuit !

14e : Mikhail Molchanov (Russie) 69 170€
Son huitième ITM lui rapporte autant que les sept précédents réunis !

13e : Konstantin Puchkov (Russie) 81 700€
Le plus titré de tous les demi-finalistes du tournoi (1 bracelet, 7 finales WSOP, 1 finale EPT, 2,46 millions de dollars de gains) se contente cette fois d'une place d'honneur.

12e : Andrea Cortellazzi (Italie) 81 700€
Un joueur de plus qui réalisait là la performance la plus lucrative de sa carrière. On aura vraiment fait connaissance avec énormément de joueurs sur cet EPT.

11e : Alexandru Baron (Canada) 98 350€
Voir juste au dessus.

10e : Morten Mortensen (Danemark) 98 350€
TIens, je me rends compte qu'il n'y a plus de Scandinaves dans le tournoi, et que sept nationalités différentes sont représentées à travers les sept derniers joueurs. L'EPT, cette Tour de Babel du poker.

9e : Stephen Malone (Irlande) 123 450€
Bla bla bla le mec avait presque jamais perfé avant bla bla il est super bon bla bla talent en devenir.

8e : Pavel Plesuv (Moldavie) 165 950€
La phrase que vous êtes en train de lire ne comporte aucune information à propos du joueur éliminé en huitième place, et se termine par un point d’exclamation !

On vous présente les finalistes de l’EPT Barcelone

Par ordre de positionnement autour de la table, voici les sept prétendants au titre de champion sur le plus gros tournoi European Poker Tour de l'histoire... Aucun de ces joueurs n'avait atteint une finale EPT auparavant : tous remporteront quoi qu'il arrive la plus belle somme de leurs carrières.

Vainqueur : 1 122 800 euros
2nd : 807 100€
3e : 646,250€
4e : 535,100€
5e : 431,550€
6e : 330,290€
7e : 230,950€

Biographies par PokerStars / Traduction par Benjo & Tapis Volant

Siège 1 : Uri Reichenstein, 28 ans - Allemagne (né à Tel Aviv) - 11,33 millions de tapis
Uri Reichenstein est né à Tel Aviv, en Israël. Le chip-leader de cette finale fait partie des plus gros tapis depuis le Day 2, et squatte le Top 5 depuis trois jours. Son plus gros résultat à ce jour est une 2ème place sur un tournoi à 2000€ à Chypre (125,000$ de prix) en mars dernier. Le joueur de 28 ans a également été loin sur le Main Event des WSOP cet été, finissant en 141ème position pour 49,108$. Pour l’instant, Reichenstein a amassé 191,000$ sur le circuit live mais c’est surtout online qu’il a connu ses plus beaux accomplissements : il a gagné tous les tournois les plus prestigieux, comme le Sunday Million, le Super Tuesday, le Sunday SuperSonic, le Big 162$, entre autres.

Siège 2 : Thomas De Rooij, 23 ans - Groningen (Pays-Bas) - 11,18 millions de tapis
Même si le poker constitue sa principale source de revenus, Thomas De Rooij n’a pas l’intention de devenir joueur de poker à plein temps. Ce jeune étudiant en économie de 23 ans se concentre sur ses études, tentant de réussir sa dernière année de licence. De Rooij apprécie vraiment le jeu et ne ressent aucune nervosité. « Même si je me fais éliminer maintenant, j’ai déjà gagné beaucoup d’argent, donc j’ai pas besoin de stresser. Ca pourrait d’ailleurs m’avantager sur la table finale », dit le néerlandais. Un gros résultat sur le plus gros EPT de l’Histoire permettrait à De Rooij de voyager encore plus pour disputer d’autres tournois live. Son seul résultat live à ce jour est une victoire lors d’un tournoi en Croatie en octobre dernier, pour 34,800 euros. En ligne, De Rooij ne joue que deux fois par semaine mais a tout de même 70,000$ de gains à son actif. Il aime beaucoup les animaux et possède même 5 poissons rouges [Note de Benjo : les habitués savent qu’on aime bien insérer de fausses infos dans ces bios, mais là je vous jure que je traduis mot à mot les infos qui nous ont été communiquées]. Grand fan de football et supporter du Feyenord Rotterdam, Thomas taquine lui-même le ballon rond à ses heures perdues. Très sportif, De Rooij aime également beaucoup le tennis de table, et a joué quelques matchs avec ses amis sur la table installée dans l’entrée de la salle de tournois. Il entamera la finale avec le deuxième plus gros tapis.

Siège 3 : Andreas « xalkidas » Chalkiadakis, 35 ans - Athènes (Grèce) - 5,015 millions de tapis
Andreas Chakiadakis a gagné son ticket pour l’EPT Barcelone grâce à une qualification sur un satellite online à 109$ l’entrée. Le joueur Grec de 35 ans est déjà de gagner au moins quinze fois plus que lors de sa 31ème place sur l’édition 2015 de l’EPT Malte (15,620 € de gains). Pour l’instant, il a gagné 145,000$ sur le circuit live et figure en 38ème place sur la All-Time Money List Grecque - quoi qu’il arrive dimanche, il bondira d’au moins vingt places au classement. Andreas avait entamé le Day 5 avec l’un des plus petits tapis : il sera en table finale avec une trentaine de blindes.

Siège 4 : Zorlu Er, 53 ans - Mersin (Turquie) - 7,09 millions de tapis
Zorlu est venu à Barcelone avec son fils, qui est lui aussi un joueur de poker, et porte le même prénom que son papa. En fait, c’est bel et bien le fiston qui a convaincu son père de se pointer. Ecoutons le jeune joueur de 24 ans : « Mon père est très talentueux, très intelligent. Il joue depuis quarante ans - au poker fermé au début, puis ensuite au Texas Hold’em ces dix dernières années. » D’après Zorlu Junior, son père ne voulait pas venir à Barcelona et a du se faire prier par son fils, qui vient de décrocher son diplôme d’ingénieur en bâtiment. « Mon père n’aime pas la plage. Pour les vacances, il préfère ne pas partir trop loin, genre à Bodrum ou Chypre. Mais je voulais qu’il vienne. On a tous les deux joué le Main Event, mais j’ai sauté avant l’ITM. Là où on vit, mon père dirige un club de poker, et il coache des joueurs aussi. Ce ne sont pas des parties avec du vrai argent, c’est juste une asso avec une ligue associée. On ne peut jouer qu’au Texas Hold’em : en Turquie, cette variante est considérée comme un sport intellectuel à part entière. » Zorlu Junior ajoute que son père aime jouer en cash-game et en tournoi à Chypre. « Ma mère est décdédée un an après ma naissance : toute ma vie, je n’ai eu que mon père, et il n’a eu que moi. Le poker est notre passion et je suis très fier de ce qu’il a accompli. »

Siège 5 : Harcharan Dogra Dorgra, 44 ans - Barcelone (Espagne) - 1,7 million de tapis
Nul n’est prophète en son pays : ce n’est pas systématiquement que les joueurs Espagnols brillent au cours de « leur » EPT. Harcharan est le « Local Hero » de cette 13ème édition : il pratique le poker en amateur, pour se distraire de « Peix d’Or », le restaurant de fruits de mer qu’il dirige. Pour ceux qui se demandent, le nom signifie « Poisson doré » est l’établissement est situé à une quinzaine de minutes de marche du casino de Barcelone. Ses résultats en live à ce jour comprennent une place de runner-up au championnat du casino Peralada en 2014, pour un prix de 13,700 euros. Il n’a atteint l’argent qu’une seule fois à Barcelone, c’était lors de l’édition 2012 du Main Event de l’EPT espagnol. Il n’aura que dix blindes en sa possession pour tenter d’aller « chercher bonheur » en finale, et rejoindre Adrien Mateos dans le club des vainqueurs Espagnols de l’EPT (ce club ne comporte qu’un seul membre à ce jour).

Siège 6 : Adam Owen, 23 ans - Lyminge (Royaume Uni) - 9,8 millions de tapis
Ce professionnel Anglais est spécialisé dans les variantes exotiques (« Mixed Games »), et son palmarès est là pour en témoigner : une troisième place sur l’épreuve de Razz à 10,000$ des WSOP 2015 (104,914$), une seconde place, encore en Razz, lors de l’édition 2015 de l’EPT Barcelone (28,395€), et un titre online en Omaha High-Low lors des SCOOP de mai 2016, pour 15,647$ (son pseudo : Adamyid"). Adam vient d’un petit village de la région du Kent, et est arrivé à Barcelone sur une lancée de 9 ITM aux WSOP cet été, dont une finale sur le tournoi par équipes à 1000$. Il totalise 58 ITM en live pour plus de 400,000 dollars de gains. Même s’il est moins expérimenté en No-Limit, on l’a vu se hisser en seconde place de l’épreuve Sunday Warmup à 215$ des SCOOP 2015, pour un prix de 120,335 dollars. Adam a réalisé la meilleure progression de la journée parmi tous les demi-finalistes, passant de 2 à 9 millions au cours des douze heures de jeu du Day 5.

Siège 7 : Sébastian Malec, 21 ans - Varsovie (Pologne) - 7,33 millions de tapis
Le Polonais a décroché sa qualification pour cet EPT Barcelonais en investissant seulement 27$ sur un satellite online. A 21 ans, le natif de Varsovie peut se targuer d’avoir joué aux échecs à un niveau très compétitif durant neuf années de sa vie, avant que le virus du poker ne le gagne en 2010, lorsque son professeur d’échecs lui raconta son voyage à Vegas où il était parti disputer les WSOP. Ce fut le coup de foudre, et l’European Poker Tour a joué une place de choix dans le développement de cette idylle. En 2014, Malec est parti étudier à l’université anglaise de Warwick, et en a profité pour se rendre sur l’étape Londonienne de l’EPT. « Il n’y avait que deux heures de trajet, je me suis dit pourquoi pas ? A l’époque, je lisais absolument tous les coverages, je regardais l’intégralité des streams. » Sur place, l’étudiant était en plein kiff de pouvoir croiser ses idoles poker pour la première fois, comme les joueurs du Team Pro PokerStars Jason Mercier, Philips Gruissem ou Dominik Panka - il ne manqua pas l’opportunité de prendre quelques selfies avec ces petits génies. Ici à Barcelone, Malec s’est retrouvé face à face avec Jason Mercier - un rêve devenant réalité pour le fougueux jeune homme. Sa première participation à un Main Event EPT remonte à l’année dernière, avec une 76e place à Barcelone (15,600€ : son plus gros cash jusqu’à présent). Il a aussi joué à Malte et Dublin. Son futur proche sera marqué par un déménagement à Maastricht. « Je veux changer d’orientation. Pour l’instant, j’étudie les maths et les statistiques, mais j’ai envie de me pencher sur l’art et la culture des Pays-Bas », qui est par ailleurs un cinéphile acharné.

La finale débutera à 13 heures. Vous pourrez la suivre en streaming (avec cartes des joueurs visibles) avec une heure de décalage, donc à partir de 14 heures.