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Avertissements aux nouveaux joueurs de poker on-line.

Avertissements aux nouveaux joueurs de poker on-line: les risques que vous encourez.

1 / L’addiction

Nous avons accès à chaque ouverture des sites de poker aux avertissements légaux suivants : « Famille Vie sociale, Santé financière, Etes-vous prêt à tout miser ? » Ou « Endettement, Dépendance, Isolement, Jouer comporte des risques pour vous et vos proches ». La lecture de ces messages se fait d’un œil distrait, car on s’est connecté pour jouer, évidemment. En plus on se dit qu’on n’a pas de souci de ce côté-là. Et puis bon, juste en dessous des avertissements il y a toujours un gros message qui détourne votre attention, du genre « gros bonus si vous faites un dépôt » ou alors « gagnez votre ticket pour le plus grand tournoi de l’univers ».

Si un joueur de réel ne sait pas maîtriser son budget poker ou bien si il nuit à sa vie personnelle en passant trop de temps devant son PC, il peut appeler le 09 74 75 13 13, ou bien cliquer sur le bandeau du message d’avertissement pour être transféré sur le site https://www.joueurs-info-service.fr/ , qui offre la possibilité de contacter un conseiller anti-dépendance, de participer à des forums sur le sujet ou, cas extrême, d’être dirigé vers un centre de soins à proximité de son domicile (lien vers le site drogues-info-service.fr).

Le risque d’addiction au poker on-line peut être considéré comme étant du même ordre que celui des machines à sous (du casino en général), des jeux de grattage, etc…

Dans les faits, les joueurs capables d’hypothéquer leurs biens pour jouer ne sont pas rares, mais la grande majorité des joueurs n’a pas ce problème : elle sait gérer son budget poker, et les meilleurs joueurs arrivent même à faire fructifier leur dépôt de base.

En fait, la dépendance est plus souvent liée au temps passé devant son PC. Je suis aujourd’hui surpris de me souvenir que je pouvais passer 6 ou 7 heures de suite à jouer le soir (et donc la nuit), après avoir travaillé toute la journée sur le PC du bureau. Une deuxième journée de boulot en quelque sorte. Une addiction aux tables on-line d’autant plus forte lorsqu’on participe aux « chats » multiples, aux forums comme celui de wampoker (où l’on peut intégrer des groupes de joueurs, développer une vie sociale « virtuelle »). Le temps passe 2 fois plus vite quand on est en action. Le réveil le lendemain matin est 2 fois plus dur…

2 / La procrastination

La procrastination est une tendance à remettre systématiquement au lendemain des actions (qu’elles soient limitées à un domaine précis de la vie quotidienne ou non). Ce phénomène est parmi les plus courants chez les joueurs de poker on-line dépendants.

Prenons le cas des joueurs accros qui ont un travail et qui participent habituellement à la vie de la maison : tout ce qu’on n’a pas pu faire pendant sa journée de travail, on le fait habituellement le soir en rentrant à la maison. Cela peut aller des activités de base (changement de la lampe grillée du living, traitement de son courrier, gestion de son compte bancaire, coup de téléphone pour fêter l’anniversaire de sa tante…), à des choses bien plus importantes, comme aider le petit à faire ses devoirs, ou juste s’occuper de son conjoint…

Dans la semaine, les joueurs sont nombreux aux tables le soir : les parties importantes débutent souvent entre 20 heures et 21 heures. Les joueurs accros rentrent du boulot, se dépêchent de manger après s’être inscrits à leurs tournois du soir (parfois 5 tables ou plus), et n’ont pas le temps « psychologique » de s’engager dans du repassage ou le remplissage de leur déclaration d’impôts. Ils se disent donc : « Je m’en occuperai demain ». Le terrible engrenage est en marche : ils repousseront parfois jusqu’à la dernière extrémité ce qu’ils ont à faire, pour se retrouver dans des situations compliquées à gérer, avec en prime un joli sentiment de culpabilité.

3 / L’abêtissement

Trop jouer, c’est oublier de se cultiver. Se balader dans la nature, participer à la vie associative de son quartier, lire un livre, aller au cinéma ou au musée, regarder Koh Lanta (non, je déconne). Pour résumer, c’est réduire son panel d’activités de manière drastique, et donc ne plus stimuler suffisamment son cerveau. Ceux qui croient que jouer est bon pour l’esprit se trompent lourdement : jouer au poker c’est à la portée du premier con venu, sinon tout le monde jouerait au bridge. Les stratégies de base ce jeu ne sont pas bien compliquées. Bien jouer au poker, c’est autre chose : les meilleurs sont passionnés et lisent des ouvrages spécialisés pour progresser. Certains font même du sport pour pouvoir mieux résister à la pression et être plus endurants sur les longs tournois. Et ils savent s’aménager des pauses pour éviter de fondre un fusible.

Et puis bon, honnêtement, ceux qui ont activement participé à la vie de groupes de poker sur des forums, ou assisté à des discussions entre joueurs sur des chats de tables, savent comme moi que le niveau intellectuel moyen des pseudos qu’on croise aux tables oscille entre celui du robot mixeur et de la moule de Bouchot.

4 / Un comportement asocial

Autant il est vrai que jouer au poker on-line et participer aux forums associés à cette activité est un moyen possible de rompre avec une forme de solitude ou d’ennui, autant il faut avoir conscience de l’effet contraire si on est trop accro au jeu.

Lorsque vous avez du monde chez vous (famille ou amis) et que, juste après l’apéritif, vous leur dites « Désolé, j’ai un tournoi important ce soir… » (le Free Junior ? Le private d’anniversaire de quelqu’un que vous n’avez jamais rencontré ?), c’est le meilleur moyen pour ne plus les revoir avant un bon moment. Le pire finalement, c’est qu’on peut penser que c’est ce que vous souhaitez ! Ne croyez pas que vos proches comprendront votre attitude : disparaître soudainement de la soirée pour s’isoler dans sa chambre, ou pire, rester à côté d’eux dans le salon, devant l’ordinateur, sans s’intéresser à ce qui se passe est une humiliation pour eux !

S’isoler pour jouer et ne plus avoir de vie sociale est la route progressive vers une vie bien sombre. Ne vous « déconnectez » pas de la réalité et sachez déterminer les priorités de la vie, dont la principale : échanger avec les autres, surtout vos proches. Pour les contacts « virtuels », ne vous y trompez pas : dans 95 % des cas, un pseudo, ce n’est que du vent.

5 / Les déboires familiaux

Sujet épineux…

Il y a les enfants que l’on envoie au lit plus tôt que nécessaire, car on veut être « enfin » tranquille pour jouer. Ils voulaient juste regarder « l’âge de glace 3 » à la télé et en plus ils ont eu des bonnes notes à l’école… Bon ça ce n’est pas trop grave. Mais quand on laisse son conjoint partir seul avec les gosses au bord du lac le samedi après-midi, tout ça parce qu’on est pas mal au classement « Playmoney », là ça craint vraiment…

Récemment, j’ai lu sur wampoker le post d’un joueur qui avouait avoir perdu sa copine parce qu’il passait son temps à jouer et à glander toute la journée. C’est bien plus courant qu’on peut croire ce genre de situation. Il y a ceux ou celles qui disent, au détour d’un chat ou d’un post, qu’ils ne pourront participer à un tournoi que s’ils ont l’autorisation de madame ou de monsieur. Nous avons affaire là à des joueurs prudents et précautionneux, bravo !

Mais il y a les autres, qui sont trop absorbés par leur passion du poker on-line pour voir ce qui crève les yeux : leurs conjoints n’en peuvent plus ! Ces derniers auront beau prévenir, menacer, rien n’y fera : enfermés dans leur monde, ces malheureux se retrouveront un beau matin célibataires, largués sans espoir de retour…

6 / Votre santé : le manque d’activité physique et la malbouffe

Un goût immodéré pour le jeu pousse donc à négliger les nécessités vitales quotidiennes, comme faire de l’exercice et bien se nourrir. Que ne ferait-on pas pour pouvoir passer plus de temps devant le PC ! Ceux qui ont un boulot physique ont au moins la possibilité de se dépenser durant la journée. Les autres vont voir leurs muscles fondre inexorablement, remplacés par du mauvais «gras ».
On préfère jouer que de faire son jogging ou son match de foot ? Mauvaise idée, car le corps est aussi une machine qui se grippe quand on ne s’en sert pas. Le sport apporte la force physique bien sûr, mais a aussi un incroyable effet bénéfique sur le moral. Mieux vaut se marrer au sommet de la côte qu’on a vaincue en vélo, que de déprimer devant un écran à cause d’un 77 qui ruine votre AA.
On passe aussi moins de temps à table, alors qu’il est important de manger tranquillement pour une bonne digestion. Mais si manger vite, c’est manger mal, le pire c’est qu’on ne fait plus attention à la qualité de son alimentation, et on peut être tenté de privilégier les plats cuisinés, les pizzas livrées ou le fast-food. Les effets à moyen terme de ce type d’alimentation déséquilibrée sont connus : diabète, prise de poids, cholestérol, mais aussi maladies cardio-vasculaires, certains cancers et même des dépressions, Les nations développées considèrent désormais avec beaucoup de sérieux les problèmes de santé publique liés à la malbouffe. Ne plus assez se nourrir est également possible, juste parce qu’on oublie de le faire. Et que ce soit trop, mal ou pas assez, une alimentation déséquilibrée est la promesse de futurs problèmes de santé.

7 / Votre santé : l’augmentation de votre consommation de tabac

L’idéal est de ne jamais fumer dans la maison bien sûr. Lorsqu’on est en famille, d’autant plus lorsqu’il y a des enfants sous votre toit, on a en général le bon réflexe de sortir dehors pour fumer seulement lors des pauses de tournoi. Malheureusement, pour ceux qui vivent seuls notamment, on tombe vite dans la facilité car on peut fumer devant le PC, en jouant, sans gêner personne. Résultat : on fume beaucoup plus, et c’est évidemment désastreux pour la santé… Ainsi que pour le budget d’ailleurs, vu le prix du tabac ! Faites donc le compte de votre surconsommation lorsque vous jouez et déduisez ce surcoût de vos gains on-line ! L’idéal est d’arrêter de fumer si vous avez la force de caractère pour le faire, et si vous arrivez à économiser (outre quelques années de vie supplémentaires) disons 50 € par semaine, ça fait de quoi jouer quelques beaux tournois de plus non ?

8 / Votre santé : les problèmes de vue

Travailler sur un ordinateur est visuellement fatigant à cause des mouvements fréquents de l’oeil qu’il exige, du focus continuel de celui-ci et des exigences de l’alignement. Quiconque passe entre deux à trois heures devant un ordinateur peut souffrir de symptômes tels que : fatigue visuelle, rougeurs oculaires, sensation de picotements, d’irritation, voire de brûlure, sensation de grain de sable dans l’oeil, éblouissements, sécheresse et irritation des yeux, vision de près brouillée ou extrême sensibilité à la lumière vive.

La plupart de ces problèmes peuvent provenir d’une insuffisance lacrymale. Comme la vitesse normale du clignement de l’oeil est de 12 à 20 clignements par minutes pour permettre la formation d’une nouvelle protection lacrymale et que le travail sur écran engendre une baisse du rythme du clignement de l’oeil, il en résulte un assèchement de la surface des yeux. Cet assèchement peut être d’autant plus important s’il est associé à d’autres facteurs tels que la fumée de tabac, la prise de médicament, être dans un espace climatisé…
Outre l’inconfort que provoque la sécheresse oculaire, elle risque aussi, à terme, d’en abîmer la surface des yeux et altérer définitivement nos capacités visuelles.

(Forum aufeminin)

9 / Votre santé : les dangers de la position assise

Physiquement, ce n’est vraiment pas bon le poker on-line. En particulier, la position assise, qui n’est pas naturelle chez l’homme : l’essentiel de nos vies se passait autrefois en position debout. Mais avec l’avènement de la télévision, du bureau, puis de l’ordinateur, nous passons aujourd’hui plus de temps assis que jamais dans toute l’histoire de l’humanité : 9,3 heures par jour. nos corps n’ont pas été prévus pour ça. Si vous passez plus de 6 heures par jour en position assise, votre risque de décéder dans les 15 ans est 40 % plus élevé que celui d’une personne qui reste assise moins de 3 heures par jour. Ceci indépendamment du fait que vous fassiez ou non du sport. La première conséquence pour notre santé est bien sûr l’obésité ; cela s’explique par le fait que la position assise n’entraîne quasiment aucune dépense énergétique. Mais les conséquences négatives de la position assise sur votre santé ne se font pas uniquement sentir à long terme. Votre corps commence à se déstructurer dès que vous vous asseyez. A peine êtes-vous assis que l’activité électrique dans vos jambes s’interrompt ; Après deux heures : votre taux de cholestérol HDL, ce que beaucoup de médecins appellent le « bon cholestérol », baisse de 20 %. Après 24 heures : l’efficacité de l’insuline baisse de 24 % et le risque de diabète augmente. Les employés de bureau et les personnes dont le métier implique d’être assis ont un risque de maladies cardiovasculaires multiplié par deux.
(https://www.santenatureinnovation.fr/quelles-solutions/bien-etre/etre-assis-tue).

10 / Le stress et la frustration

Les plus émotifs se souviendront avoir senti la chaleur leur monter aux joues et leur cœur s’emballer au moment d’un coup important (par exemple en fin de partie lorsqu’on dispute un HU, et qu’on doit attendre le turn et la river pour savoir si notre brelan va résister au tirage flush de l’adversaire). Ici, le stress est avant tout le signe d’un manque d’assurance et de maturité, pour ce jeu qui nécessite contrôle et détachement pour avoir de bonnes performances. Avec l’expérience, le stress a tendance à être remplacé peu à peu par la frustration : en effet, le poker, surtout dans sa variante ultra-dominante Texas Holdem, propose une part d’impondérable très forte, et, sur la durée d’une carrière on-line, l’accumulation de « sales coups » encaissés finit par créer une usure psychologique. Cela rend irritable et désagréable. De ma propre expérience, ce n’est pas le « bad » qui fait le plus mal, car perdre en jouant bien permet de garder le sentiment (illusoire) d’être fort. Le plus dur, c’est de perdre face à plus fort que soi, et en avoir conscience. Il y a toujours un moment où le joueur on-line « normal » finit de progresser, et lorsqu’on s’en rend compte, il faut réduire son activité poker, sinon chaque sortie de tournoi devient une petite fin du monde…

11 / La Jean-Claude Vandammite

Nous connaissons tous le langage SMS qui prend quelques libertés avec l’orthographe, parfois incompréhensible pour le profane qui aimerait deviner ce que ce gamin a bien voulu écrire sur son mobile. Au niveau du poker, les joueurs passionnés ont développé un langage technique spécifique, mélange de français, d’anglais, de chiffres et d’abréviations diverses, dont l’objectif est de dire le maximum de choses en peu de mots. Certains en usent et en abusent au point de faire sérieusement penser à un légendaire karateka belge. Pour illustrer mon propos, j’ai flâné dans la section technique de wampoker, où il suffit de lire quelques posts pour dénicher des perles :

Classique / goldmaker xx : Si ça brique turn, je sais qu’ il va très souvent check back, so on lui laisser free card, ce qui devrait me pousser à- 3bet ou shove dépend des sizing et qu’ il va jamais nous 4bet light ou call notre shove light.

Littéraire / soxav : tu viens de chatter JT vs AT, tu touches KQo face à raise du CL actif, 3bet du SS à droite, tu snap 4bet/shove pour iso. Super moche, à part un missclick, je vois pas l’intérêt ou la raison de gamble 1/4 de ton stack.

Psycho / yannouuu : Càd que tu raise/fold ou que tu fold pré? Même pas fais gaffe à cette main, en fait ça me parait standard de raise/call kqs that deep (il a 20bb pas 30) surtout que le mec était en push or fold depuis qqes orbites (ça range de push ça doit être qqch comme 22+/KJs+/ATo+/A9s+ ce qui nous donne + ou - 43/44% ctre ça range de shove). Maybe i wrong i dunno …

Hip Hop / 2ball2alose : Fold ou call down, si il bet vraiment any time any board je call down.

Attention: les pseudos cités sont ceux de joueurs de qualité (sauf un). Je ne me moque pas d’eux, d’autant plus que je ne comprends pas grand chose à ce qu’ils racontent. Mais bon, ça fout la trouille de s’imaginer finir par causer comme ça non ?

12 / L’absence d’originalité

Il faut être honnête, et là les « vieux » joueurs vous le confirmeront : il y a quelques années (disons 4 ou 5 ans), le poker on-line était une activité peu développée, et ceux qui jouaient formaient, en quelque sorte, une caste. L’offre était limitée, mais l’ambiance était différente, plus familiale, tout simplement plus agréable. Aujourd’hui, de vos parents à vos petits enfants, tout le monde est susceptible de jouer, et le côté spécial, « différent des autres », du joueur de poker a totalement disparu. Ouvrir un compte poker est devenu aussi banal que d’acheter une cafetière sur amazon.

13 / La dure période de sevrage

Il ne faut pas se le cacher, le sevrage, c’est dur. Mais c’est la seule porte de sortie dans certaines situations : plus vraiment le choix, quand on se rend compte qu’on gâche sa vie, en passant à côté de choses tellement importantes. On est tombé dans l’addiction totale du poker on-line, et parfois dans celle des amitiés « virtuelles » qui lui sont liées, incroyablement immersives. On se rend compte de la gravité de la situation lorsqu’on continue à jouer, à poster et à causer malgré l’absence d’envie et d’entrain. Les moments où on s’entend dire : « Mais qu’est-ce que je fous là ? ».

Alors on essaie de faire une pause. Et là, on s’aperçoit à quel point c’est compliqué d’arrêter. On regarde son PC éteint aux heures où habituellement on est en pleine activité on-line, déchiré entre l’envie de jouer et la peur de le faire. L’idéal serait de s’occuper l’esprit, mais nos mauvaises habitudes de jeu nous ont isolé et on n’a aucune idée de ce qu’on pourrait faire ce soir, à part regarder Patrick Sébastien faire tourner les serviettes.

A titre personnel, je n’ai jamais réussi à stopper net toute activité poker on-line. Mais j’ai pris le temps nécessaire pour me nettoyer l’esprit de cette addiction, et retrouver un comportement à peu près normal. J’ai la chance d’avoir quasiment perdu toute passion pour ce jeu (je n’ai plus la patience et souvent je m’ennuie). Pour ce qui est des contacts virtuels qui sont souvent associés au poker, j’ai fait ce qu’il fallait pour qu’on m’oublie.

Je joue peut-être encore 5 ou 6 heures par semaine, contre 35 à 45 heures auparavant. Et sur le présent forum je poste 10 fois moins de conneries. Bientôt guéri quoi.

Information complémentaire : toute personne souhaitant faire l’objet d’une interdiction de jeux doit le faire elle-même auprès du Ministère de l’Intérieur. Cette interdiction est valable dans les casinos, les cercles de jeux et sur les sites de jeux en ligne autorisés en vertu de la loi n° 2010-476 du 12 mai 2010. Elle est prononcée pour une durée de trois ans non réductible.

bon ok merci , j’arrête le poker , je vais passer mes journées à l’hippodrome :wink:

Very Nice post Poko, que de vrai là-dedans :wink:

J’aime.

Pour arrêter le poker, il peut y avoir aussi un concours de circonstances, les 2 pc hs en un mois, donc plus d’outil de jeu en ligne.

Ou alors tu taf entre 13 et 17h par jour et t’as plus le temps de jouer :neutral_face:

C’est comme ça depuis août. Mais j’arrête après 11 heures de taf / jour, je tiens pas sur la durée.